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Trouvé chez Aifelle et comme ça m'amuse je participe :
1 - Décris toi : la femme au carnet rouge
2 - Comment te sens tu ? Complètement cramé
3 - Où vis tu actuellement ? Eldorado
4 - Si tu pouvais aller où tu veux, où iras tu ? quelques pas vers l'enfer
5 - Ton moyen de transport préféré ? Un avion sans elle
6 - Ton (ta) meileur(e) ami(e) est ? l'écrivain national
7 - Toi et tes amis vous êtes ? les filles de Hallows farm
8 - Comment est le temps ? l'hiver le plus froid
9 - Quel est ton moment préféré de la journée ? Entre chien et loup
10 - Qu'est ce que la vie pour toi ? L'amour en minuscule
11 - Ta peur ? La nuit des coeurs froids
12 - Quel est le conseil que tu as à donner ? Souviens toi de m'oublier
13 - Pensée du jour : n'aies pas peur que je t'enlace
14 - Comment aimerais tu mourir ? En mer
15 - Les conditions actuelles de ton âme ? Stupeurs et tremblements
16 - Ton rêve ? le ventre lisse
Sylire a aussi joué le jeu, si le cœur vous en dit ???
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"Quand des livres n'en ont plus que pour quelques jours de vie, il faut en jouir jusqu’au bout"
Amélie Nothomb
1966
Les combustibles p. 62
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4ème de couverture :
La ville est assiégée. Dans l'appartement du Professeur, où se sont réfugiés son assistant et Marina, l'étudiante, un seul combustible permet de lutter contre le froid : les livres. Tout le monde a répondu une fois dans sa vie à la question : quel livre emporteriez-vous sur une île déserte ? Dans ce huis clos cerné par les bombes et les tirs des snipers, l'étincelante romancière du Sabotage amoureux pose à ses personnages une question autrement perverse : quel livre, quelle phrase de quel livre vaut qu'on lui sacrifie un instant, un seul instant de chaleur physique ? Humour, ironie et désespoir s'entre-tissent subtilement dans cette parabole aux résonances singulièrement actuelles.
Mon avis :
Voici mon livre d'Amélie Nothomb du mois, Amélie qui s’essaie au théâtre, j'étais un peu sceptique je trouve que ce style n'est pas forcément très facile à lire. ça n'a pas été le cas. Je me suis même amusée à suivre ces 3 personnages qui débattent sur les livres à garder et à brûler. Le professeur qui devient honnête et exprime enfin ces vrais goûts, l’assistant encore idéaliste et la jeune fille qui ne peut qu'à une chose ne plus avoir froid. Avec de belles réflexions sur la vie, les sentiments.
Un bon moment de lecture
coche (9/50)
un livre écrit par une femme
un livre lu en une seule journée
une pièce de théâtre
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4ème de couverture :
«Mauvais garçon !» On l'a toujours appelé comme ça. Petit, il faisait les quatre cents coups. En grandissant, il est devenu un vrai voyou et a été placé en maison de redressement où on lui mène à son tour la vie dure. Un jour, M. Alfie, un vieil homme qui s'occupe de chevaux, lui offre une seconde chance et lui confie Dombey, un cheval maltraité et farouche.
Mon avis :
Quel plaisir de retrouver cet auteur que j'aime beaucoup. Dans un style claire et imaginé sur le ton de la confidence, un grand père raconte à son petit fils comment de "mauvais garçon" il est passé "un garçon pas mauvais du tout" . Une belle histoire de l'après guerre où les jeunes étaient un peu livrés à eux mêmes, avec plus ou moins de dégâts et finissaient en maison de redressement, maison qui a fini par être une chance dans la vie du narrateur.
Une histoire où comme souvent chez Morpurgo les animaux ici les chevaux ont un role important.
Les illustrations de Michael Foreman, en tons de gris apportent douceur au roman et casse un peu la lecture pour le confort des jeunes lecteurs.
Quelques annexes en fin de livres apportent les données historiques dont cette histoire est inspirée.
Dans la catégorie Gros mots (pour finir in extremis la dernière ligne)
Traduit de l'anglais
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