• de Mary E. Pearson, Ed les grandes personnes.

    4ème de couverture :

    Jenna est amnésique après un an passé dans le coma. Surprotégée par ses parents, elle réapprend à être celle qu'elle a toujours été. Pourtant, très vite, Jenna comprend qu'elle est bien plus que les vidéos de son enfance qu'on l'oblige à regarder. Et avec les souvenirs apparaissent des questions auxquelles personne ne répond... Un roman d'anticipation qui, au fil des pages, devient un thriller haletant.

    Mon avis :

    Pendant une bonne moitié du livre on se trouve dans le même état d'esprit que Jenna : Pourquoi je suis là ? Pourquoi ne répond on pas à mes questions ? Pourquoi papa est loin et ne rentre quasiment jamais ? pourquoi je ne peux pas aller à l'école ? Puis avec elle on refait le chemin de ce qui s'est passé pendant cette année.

    L'intrigue n'est pas très crédible par manque de précisions scientifiques mais je pense que c'est un bon roman pour un jeune qui découvre ce genre littéraire.

     


    1 commentaire
  • de Julia Glass aux éditions des deux terres.

     

    4ème de couverture :

    « Dans la veine de Jane Eyre, Les joies éphémères de Percy Darling évoque les tensions entre les valeurs traditionnelles et la nécessité de s’adapter aux nouvelles moeurs… Irrésistible ! »
    The Los Angeles Times

    Dans une ancienne ferme près de Boston, Percy, soixante-dix ans, passe sa retraite à lire, à regarder de vieux films et à nager dans son étang en tenue d’Adam. Il n’apprécie que les visites de Robert, son cher petit-fils étudiant en médecine. Cette paisible routine est compromise lorsqu’il permet à une école maternelle d’occuper sa grange. À mesure qu’élèves, parents et professeurs assiègent son refuge, il remet en question la vie solitaire qu’il mène depuis la mort de sa femme, trente ans plus tôt. Quand il croise avec Robert le destin d’Ira, instituteur homosexuel, et de Celestino, jardinier guatémaltèque, il lui devient soudain impossible de rester à l’écart de sa communauté, de ses deux filles, ni même, à sa grande surprise, des joies éphémères de l’amour.

    L’auteur :
    Julia Glass est l’auteur de quatre romans, Jours de juin, Refaire le monde, Louisa et Clem et Les joies éphémères de Percy Darling, qui ont tous été des best-sellers du New York Times. Elle s’est vu décerner plusieurs prix pour ses romans et ses nouvelles, dont le prestigieux prix américain du National Book Award pour Jours de juin, le John Gardner Award pour Louisa et Clem, trois Nelson Algren Awards et le Tobias Wolff Award. Lors de la publication des Joies éphémères de Percy Darling, la critique a salué son talent et sa finesse d’observation, la comparant à Anne Tyler et à Lorrie Moore. Julia Glass vit avec sa famille dans le Massachusetts.

     

    Mon avis :

    Tentée par la 4ème de couverture je m'attendais vraiment à un roman plus léger et drole. Ce n'est effectivement que la vie d'un sexagénaire, vie tout à fait banale, qui a vécu comme tout le monde des drames et se trouve à un moment de sa vie où il doit faire des choix. Beaucoup de personnages, plus ou moins intéressants. Une écriture fluide mais à chaque début de chapitre on se demande qui parle, comme si on était parachuté en plein milieu d'une scène. Assez étrange comme sensation.

    Non ce livre ne m'a pas vraiment emballée même si je suis allée jusqu'au bout ! (649 pages quand même) 


    votre commentaire
  • Samedi soir séance ciné à la maison : avec les Lyonnais d'Oliver Marchal avec Gérard Lanvin, Tchéky Karyo...

    résumé :

    A l'approche de la soixantaine, Edmond Vidal alias Momon le gitan se voit obligé de reprendre du service pour extirper son ami d'enfance Serge Suttel des griffes de la Justice.

    Le film se base librement sur les mémoires de ce véritable gangster ayant officié dans les années 70 au sein du Gang des Lyonnais. Un voyou certes, mais avec un honneur, une parole.

    Un bon père, un bon mari ou un bon grand-père, mais surtout un très bon ami. De nombreux flashbacks sont là pour comprendre ce qui peut unir cette bande de « lyonnais », la relation qu'entretiennent Edmond et Serge notamment.
    Car il s'agit ici avant tout d'une histoire d'amitié, une amitié virile et sans faille, s'étalant sur des décennies. Et lorsqu'après treize ans de cavale, tous se retrouvent enfin autour d'une table, seul Momon rit jaune.

    Mon avis :

    J'ai trouvé qu'il n'était pas facile de naviguer entre réalité et flash back, j'ai eu beaucoup de mal à reconnaitre les personnes quand ils étaient jeunes. Sinon Gérard Lanvin crève l'écran et ce n'est pas peu dire avec des gros plan superbes. L'histoire est bien menée, moins glaude que les films précédents d' Olivier Marchal.

    Vous l'avez vu ?


    votre commentaire
  • 1ère fois

    J' ai voulu tenter l'expérience de l'écoute d'un livre audio.
    Je suis allée dans les rayons ma bibliothèque et j'ai trouvé "la petite fille de Monsieur Linh" de Philippe Claudel.
      
    4ème de couverture :
    "C'est un vieil homme debout à l'arrière d'un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise. Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul à savoir qu'il s'appelle ainsi car tous ceux qui le savaient sont morts autour de lui."
    Il n'a pu emporter avec lui, outre la petite fille de six semaines, que quelques vêtements usagés, une photographie que la lumière du soleil a presque entièrement effacée et un sac de toile dans lequel il a glissé une poignée de terre. Les parents de l'enfant étaient les enfants de Monsieur Linh, morts dans la guerre qui fait rage depuis des années dans son pays. Le voyage dure longtemps. Le pays où il arrive est étrange et étranger. Pour celui à qui la mort à tout pris, qui n'est plus rien, qui se trouve à des milliers de kilomètres d'un village qui n'existe plus, seule compte la survie de l'enfant. Un jour où il consent à vaincre ses réticences et à sortir du dortoir pour réfugiés où il a été placé, il fait la rencontre de Monsieur Bark, un homme aux mains de géant avec qui il noue une solide amitié. Malgré la barrière de la langue, leurs rencontres quotidiennes sont pour le vieil homme comme un retour à la liberté. Jusqu'au moment où il est rattrapé par la réalité…
    Me voilà partie pour quelques heures d'écoute.
    La voix de Marie Claude Moreau est un peu monotone mais douce et va bien avec l'histoire. On se laisse porter, c'est agréable mais il faut quand même se concentrer pour ne pas perdre le fil. Je connaissais cet auteur mais pas cette oeuvre que j'ai trouvée moins tragique que les autres. J'imaginai bien les personnages, les paysages, les situations.
    J'aime beaucoup lire mais cette expérience donne une autre dimension, je recommencerai surement.
    Et vous, avez vous déjà tenté cette expérience ?

    votre commentaire
  • Ici on partage ces découvertes culturelles :

    - lectures

    - films ou séries

    - musiques

    - ballades

    J'espère que vous aimerez vous y promener, échanger dans le plaisir et la bonne humeur...

    A bientôt.


    votre commentaire