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Comme il m'amuse ce tag , je le fais tous les ans (enfin ça ne fait que 2 fois) il et apparu chez Aifelle , je le reprends avec mes titres
Décris-toi ...
Comment te sens-tu ?
Décris où tu vis actuellement ...
Si tu pouvais aller où tu veux, où irais-tu ?
Ton moyen de transport préféré ?
Ton/ta meilleur(e) ami(e) est ...
Toi et tes amis vous êtes ...
Comment est le temps ?
Quel est ton moment préféré de la journée ?
Qu'est la vie pour toi ?
Ta peur ?
Quel est le conseil que tu as à donner ?
La pensée du jour ...
Comment aimerais-tu mourir ?
Les conditions actuelles de ton âme ?
Ton rêve ?
Comme une envie de voir la mer
Si ça vous tente n'hésitez pas : il suffit de répondre aux questions avec des titres lus dans l'année écoulée uniquement. Le résultat est parfois tiré par les cheveux mais ce qui surgit est souvent troublant.
Déjà paru celui de Noukette, Aifelle, Jérome
Faites moi signe si vous le faites !!
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4ème de couverture :
" Vous regardez entrer une amie dans une église un dimanche à 11 h 30. "
Dans la commune italienne de P., on sauve les apparences. Et surtout le dimanche. Le 12 septembre 1993 a dérogé à la règle.
Ce jour-là, Gloria Prats quitte son amie Elena pour honorer un rendez-vous. Elle franchit le perron de l'église de la Miséricorde. Un rendez-vous furtif, pas plus de quelques minutes.
Le 12 septembre 1993, les minutes deviennent des heures. Gloria ne ressort pas.
Une fugue, à coup sûr. Ou un coup de ce petit Albanais trop discret pour être honnête. Tout, mais pas le principal suspect, protagoniste numéro 2 du rendez-vous : Damiano Solivo.
Comment on construit un monstre, comment le pouvoir oblitère la vérité dans une ville de province pétrie de règles ancestrales. Prendre Gloria est un roman noir et une puissante critique sociale, genèse du diptyque tiré d'un fait divers qui tourmenta l'Italie et l'Angleterre de 1993 à 2011.Mon avis :
Toute l'originalité de ce roman vient de sa construction : ces allers-retours entre le jour de la disparition de Gloria et celui où le corps est retrouvé, en passant l'évolution de l'enquête entre ces 2 dates et la description des personnages qui ont entouré la jeune fille.
Tous ces personnages qui sont particulièrement bien travaillés ; enfermés dans leur croyance, leur éducation , corrompus pour certains, obsédé pour d'autres. Ceux qui parlent, ceux qui se taisent, ceux qui n'osent plus dire.
Pas de grand suspens mais un plongeon dans l'enquête même quand faire émerger la vérité est loin d'être simple.
Dans la catégorie PRENOM
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Présentation :
Lupano et Cauuet décrivent avec toujours autant de drôlerie la chute libre de notre société. Restent Mimile, Antoine, Pierrot et ses anars malvoyants pour redresser la barre. Un versement inattendu de la « finance carnassière » arrive à point nommé, mais réveille également de douloureux souvenirs pour Pierrot. Sa muse libertaire, Ann Bonny, réapparaît... Wilfrid Lupano et Paul Cauuet persistent et signent des scènes et dialogues savoureux qui resteront dans les mémoires !
Mon avis :
Quel plaisir de retrouver nos vieux déjantés, toujours la même attitude très réaliste, de l'humour, des aventures, un vrai régal ...
Et la bonne nouvelle le 3ème tome est sorti !!
dans la catégorie OBJET
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Synopsis :
Antoine ressemble aux héros des films dont il compose la musique. Il a du charme, du succès, et traverse la vie avec autant d’humour que de légèreté. Lorsqu’il part en Inde travailler sur une version très originale de Roméo et Juliette, il rencontre Anna, une femme qui ne lui ressemble en rien, mais qui l’attire plus que tout. Ensemble, ils vont vivre une incroyable aventure…
Mon avis :
L'Inde filmée dans sa réalité, la pollution, les couleurs, le bruit.
De belles réflexions sur la vie, les relations humaines, les rapports homme femme. Jean Dujardin est plutôt bien dans ce rôle : gai, "je m'en foutiste" à souhait, craquant en gros plan avec sa casquette de titi parisien et Elsa Zylbertein est plus lunaire, rêveuse un peu hors du monde dans sa quête.
L'histoire est gentillette et manque à mon sens de profondeur.
Les seuls moments qui m'ont émue sont ceux où l'ont voit Amma, Alors oui même si ce n'est pas une film sur elle, j'aurai aimé que l'on voit un peu plus les foules qu'elle déplace et le temps que l'on passe à attendre pour recevoir son dharsan (embrassade).
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4ème de couverture :
À l’âge de cinquante-neuf ans, Fiona Maye est une brillante magistrate spécialiste du droit de la famille. Passionnée, parfois même hantée par son travail, elle en délaisse sa vie personnelle et son mari Jack. Surtout depuis cette nouvelle affaire : Adam Henry, un adolescent de dix-sept ans atteint de leucémie, risque la mort. Les croyances religieuses de ses parents interdisant la transfusion sanguine qui pourrait le sauver, les médecins s’en remettent à la cour. Après avoir entendu les deux parties, Fiona décide soudainement de se rendre à l'hôpital, auprès du garçon. Mais cette brève rencontre s’avère troublante et, indécise, la magistrate doit pourtant rendre son jugement.
Dans ce court roman, Ian McEwan allie avec justesse la froideur de la justice à la poésie et à la musicalité qui imprègnent la vie des personnages. Dans un style limpide, il crée une ambiance oppressante et fait preuve d’une complexité thématique impressionnante. Les certitudes se dérobent : où s’arrête et où commence l’intérêt de l’enfant ?Mon avis :
"L'intérêt de l'enfant" a eu bien du mal à intéresser la lectrice que je suis tout simplement parce l'affaire qui aurait pu occuper à mon sens tout le livre est noyée dans les problèmes de couple de Fiona et tout un tas d'autres cas qui sont survolés.
J'aurai aimé comprendre, suivre cette affaire de bout en bout sans parasitage, car je sais que la justice est minutieuse.
Heureusement, il y a des passages poétiques où la musique est mise à l'honneur et où les émotions font leur apparition mais ils sont trop rares.
L'avis de Gambadou
Traduit de l'Anglais
1 mois = 1 illustration : hiver
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