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4ème de couverture :
Un nouvel élève est arrivé dans la classe de Victoria ce matin. Surprise : il est espagnol ! Autre surprise : il ne parle pas car il est sourd. Enfin si, il parle, mais la langue des signes. II s’appelle Manolo et a de très beaux yeux. Victoria n’a qu’une envie : faire sa connaissance. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde. La Grande Zaza et sa bande de chipies ont fait de Manolo la nouvelle cible de leurs moqueries. Et il n’y a pas que dans la cour de récré qu’on a du mal à accepter cet enfant pas tout à fait comme les autres.
Mon avis :
Un joli roman sur la différence, le handicap et l'amitié qui a une raisonnance particulière suite aux évènements du weekend.
La surdité est peu abordée dans les romans en général j'aime que ce si beau langage qu'est la langue des signes soit mise à l'honneur auprès des jeunes.
L'écriture est fluide, tonique et agréable, à la portée de tous dès la fin du primaire, accompagnée d'illustrations elles aussi pleines de pep's.
Merci à
votre commentaire -
4ème de couverture :
Inspiré par un fait divers récent, le meurtre d'une enfant de huit ans par ses parents, La maladroite recompose par la fiction les monologues des témoins impuissants de son martyre, membres de la famille, enseignants, médecins, services sociaux, gendarmes… Un premier roman d'une lecture bouleversante, interrogeant les responsabilités de chacun dans ces tragédies de la maltraitance.
Mon avis :
Un livre très factuel inspiré d'un fait réel où se succèdent les témoignages de ceux qui ont vu mais n'ont rien fait ou plutôt rien pu faire.
L'écriture est sobre, froide. On sent l'émotion de certains, le désarroi, la manipulation, l'obsession et surtout l'innocence de cette enfant qui semble être dans un autre monde. Pas de description de cette violence subie tout est dans les non-dits, les constatations. On a envie de faire bouger les choses surtout dans les services sociaux dont la lenteur a contribué à l'issue fatale.
La tension monte tout au long du livre, c'est fort d'autant plus que cette enfant a existé et que l'on pourrait être chacun de ces témoins.
L'avis de Nadine ou de Nathalie
Merci aux éditions du Rouergue et à Chapitre #MRL15 #PriceMinister
Dans la catégorie GROS MOT
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4ème de couverture :
Le corps enfoui d’une enfant, découvert dans la steppe par des nomades mongols, réveille chez le commissaire Yeruldelgger le cauchemar de l’assassinat jamais élucidé de sa propre fille. Peu à peu, ce qui pourrait lier ces deux crimes avec d’autres plus atroces encore, va le forcer à affronter la terrible vérité. Il n’y a pas que les tombes qui soient sauvages en Mongolie. Pour certains hommes, le trafic des précieuses « terres rares » vaut largement le prix de plusieurs vies. Innocentes ou pas. Dans ce thriller d’une maîtrise époustouflante, Ian Manook nous entraine sur un rythme effréné des déserts balayés par les vents de l’Asie Centrale jusqu’à l’enfer des bas-fonds d’Oulan-Bator. Il y avait la Suède de Mankell, l’Islande d’Indridason, l’Écosse de Rankin, il y a désormais la Mongolie de Ian Manook !
Une interprétation à « coeur battant » qui entraîne l’auditeur dans une histoire pleine de méandres, bouleversante, en immersion totale.
Mon avis :
Il est dans ma LAL depuis sa sortie et j'ai enfin craqué sur la version audio trouvée à la bib.
J'ai été emporté par la voix de Martin Spinhayer et aussi par ce texte prenant et enrichissant sur ce pays que l'on connait peu.La description des grands espaces, des traditions ou des traques dans la nature, les histoires qui se recoupent, les différents personnages, tout m'a plu.
Je me suis attachée à ce personnage de Yeruldelgerr pour la façon si personnelle et si intuitive de mener son enquête, mais aussi tous les personnages secondaires (dont je ne saurai écrire les noms) attachées à cet homme en souffrance et prêtes à tout pour lui ou contre lui !!
L'écriture est tantôt poétique dans les descriptions des paysages tantôt crue dans celle des crimes mais toujours près précise sans pour autant brider l'imagination.
L'avis d'Aifelle et d'Alex; d'Enna pour la version papier et la version audio
un livre qui vous a fait frissonner
8 commentaires -
Les livres ont le pouvoir de faire tomber le lecteur amoureux
Yaël Hassan
1952 -
La fille qui n'aimait pas les fins p.44
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