• L'oiseau de mauvaise augure de Camille Lärkberg

    4ème de couverture :

    L'inspecteur Patrik Hedström est sur les dents. Il voudrait participer davantage aux préparatifs de son mariage avec Erica Falck, mais il n'a pas une minute à lui. La ville deTanumshede s'apprête à accueillir une émission de téléréalité et ses participants avides de célébrité : tout le commissariat est mobilisé pour éviter les débordements de ces jeunes incontrôlables. Dans ce contexte agité, Hanna Kruse, la nouvelle recrue, ne sera pas de trop. D'autant qu'une femme vient d'être retrouvée morte au volant de sa voiture, avec une alcoolémie hors du commun. La scène du carnage rappelle à Patrik un accident similaire intervenu des années auparavant. Tragique redite d'un fait divers banal ou macabre mise en scène ? Un sombre pressentiment s'empare de l'inspecteur. Très vite, alors que tout le pays a les yeux braqués sur la petite ville, la situation s'emballe. L'émission de téléréalité dérape tandis que les cadavres se multiplient... Camilla Läckberg tisse avec brio l'écheveau d'une intrigue palpitante au dénouement saisissant.

     Mon avis :

    Quel plaisir de retrouver Patrik et Erica pour de nouvelles aventures, ça faisait longtemps ! Cet opus est tout aussi agréable à lire, les instriques qui s'emmêlent, le coté psychologiques et manipulateurs des personnages, les jeux de pouvoir, la pleine puissance de la télé réalité. un roman très actuel dans l'air du temps.

    En arrière plan la vie de la petite famille de l'inspecteur apporte un peu de légèreté à la noirceur ambiante de cette enquête.

    Traduit du Suédois

    L'oiseau de mauvaise augure de Camille Lärkberg

    L'oiseau de mauvaise augure de Camille Lärkberg

    Dans la catégorie ANIMAL

    L'oiseau de mauvaise augure de Camille Lärkberg

     

    L'oiseau de mauvaise augure de Camille Lärkberg


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  • Citation du dimanche #

    Il ne faut pas regretter les fins, elles marquent un nouveau départ. La fin peut être une petite lumière qui illumine l'ensemble en lui donnant un sens.

    Yaël Hassan

    1952

    La fille qui n'aimait pas les fins p.107


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  • Gaspard a peur du noir de Céleste et Baptiste Amsallem

    4ème de couverture : 

    Comme toi, Gaspard a son p'tit caractère. Il a peur du noir. Très peur du noir. et si ce n'était pas pour toujours ?

    Mon avis : 

     Un petit album aux pages cartonnées idéal pour les petits mains et dans lequel les plus petits vont se retrouver avec cette peur du noir. 

    Des illustrations en double page, colorées accompagnées d'un texte simple à la portée des tout petits et au final rassurant

    Gaspard a peur du noir de Céleste et Baptiste Amsallem

    40 / 40

    Répond au thème du mois : les peurs

    Gaspard a peur du noir de Céleste et Baptiste Amsallem

    Dans la catégorie  COULEUR

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  • Un été au bord du lac de Alberto Vigevani

    4ème de couverture : 

    L’entre-deux-guerres. Un été au bord du lac de Côme. La bourgeoisie milanaise en villégiature. Un groupe de jeunes qui découvrent les relations sentimentales. Un adolescent secrètement amoureux. Ce roman, tendre et nostalgique, nous emmène dans un monde disparu, à peine sorti du XIXe siècle, et qui sera bientôt pris dans la tourmente du fascisme et de la Seconde Guerre mondiale. A l’heure où se déroule le récit il vit encore des heures heureuses. Celles où les bords du lac de Côme sont bordés de grandes villas cossues. Celles où les dames osent les premières coiffures à la garçonne. Celles des premiers émois amoureux d’un adolescent. Un été au bord du lac mérite l’appellation rare de "classique".

    Mon avis : 

    Une écriture poétique qui nous transporte dans un autre temps. Retour aux premiers émois, questionnement sur sa place, désir de grandir mais envie de rester petit : l'adolescence quoi ! 

    Le temps d'un été et pour nous d'un peu plus de 150 pages pour retrouver ses émotions. Le texte est court mais intense et reste universel.

    Traduit de  l'italien

    Un été au bord du lac de Alberto Vigevani

    dans la catégorie LIEU

    Un été au bord du lac de Alberto Vigevani

     

     


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  • In utero de Julien Blanc Gras

    4ème de couverture : 

    Globe-trotter insatiable, l'auteur a posé ses valises pendant 9 mois pour observer un ventre s'arrondir. Journal de grossesse, In utero explore cette période de latence qui transforme l'homme en père, et la Femme en baleine. Du test à l'accouchement, c'est le récit d'une aventure à la fois intime et universelle, avec ses joies et ses angoisses. Une aventure (très) rarement racontée du point de vue masculin. C'est aussi une réflexion documentée sur la grossesse à travers l'histoire et les cultures, une méditation sur la paternité à venir, traversée de questions existentielles (Faut-il faire des enfants dans un monde surpeuplé ? Peut-on accoucher en chaussettes ?).

    On y retrouve l'humour, le ton distancié et la fluidité de style de l'auteur de Touriste. Menée avec tendresse et profondeur, cette balade autour du ventre devient, au fil des mois, une marche forcée vers l'optimisme. In utero : un livre de chevet pour les futurs parents, les déjà parents, et pour ceux qui hésitent.

    Mon avis : 

    Une lecture légère et documentée, entre angoisse et émotions. C'est avec plaisir que je me suis replongée dans ces moments à travers le regard de cet homme.

    Un style fluide  et agréable comme une soirée avec un vieux pote. J'ai cependant trouvé l'auteur un peu froid pour un futur papa, surtout lorsqu'il parle de "la femme" qui est quand même la mère son fils ! Thème qui a fait débat ici car mon chéri a trouvé qu'au contraire il rendait hommage à toute la gente féminine. 

    Ma belle mère qui a aussi partager cette lecture avec nous s'est bien amusé et a trouvé que c'était une bulle légère dans le marasme des sujets littéraires abordés. 

    In utero de Julien Blanc Gras

     


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