4ème de couverture : 

Jusqu'où seriez vous prêt à aller pour garder votre travail ?

Elle s'appelle Nina. Ses charmantes collègues la surnomment "Grande Gueule". C'est vrai que son caractère exalté pourrait bien la pousser vers la porte des transports Doublet ("Transport Doublet, la passion de la route"). La route, il en mange tous les jours : il est chauffeur chez Doublet. On l'appelle Castor. Castor a fait du zèle. A cause de ça, il devra laisser son volant. Le monde est mal fait.

Seulement voilà. ä plus Nina que Castor ne peuvent se retrouver à la rue. ls sont prêts à aller très loin pour éviter ça. et qui va devoir résoudre ce problème ? Samuel Faure, directeur des ressources humaines. Un métier pas facile.

Mon avis : 

Une histoire un peu tirée par les cheveux avec ce combat entre 2 employés pour garder leur travail. Nina est une grande gueule tellement masculine que je me suis longtemps demandée si elle était vraiment ELLE. 

Le grand père et la petit fille allège un peu ce portrait de société assez noir.

Dans la catégorie UN SEUL MOT

4ème de couverture :

Les nombres premiers ne sont divisibles que par 1 et par eux mêmes ; soupçonneux et solitaires, certains possèdent cependant un jumeau dont ils ne sont séparés que par un nombre pair. Mattia, jeune surdoué, passionné de mathématiques, en est parsuadé : il compte parmi ces nombres, et Alice, dont il fait la connaissance au lycée, ne peut être que sa jumelle. Même passé douloureux, même solitude à la fois voulue et subie, même difficulté à réduire la distance qui les isole des autres. De l'adolescence à l'âge adulte, leurs existences ne cesseront de se croiser, de s'effleurer et de s'éloigner dans l'effort d'effacer les obstacles qui les séparent.

Paolo Giordano scrute avec une troublante précision les sentiments de ses personnages qui peinent à grandir et à trouver leur place dans la vie. Ces adolescents à la fois violents et fragiles, durs et tendres, brillants et désespérés continueront longtemps à nous habiter.

Mon avis :

 Un roman qui commence comme un recueil de nouvelles, des bribes de vie de 2 personnages Mattia et Alice, 2 êtres qu'un événement changent profondément et à partir de là 2 solitudes qui vont se croiser avec leur difficulté de vivre avec les autres.

2 personnages tellement blessés qu'ils ne m'ont pas touché plus que ça. Je n'ai pas ressenti l'émotion attendu je dirais même que j'appréhendais un peu chaque soir à reprendre ce livre que j'ai trouvé laborieux.

Traduit de l'italien

Le film est un peu plus intéressant même si le découpage est complétement différent, que l'on s'y perd un peu et qu'on ne comprend pas tout surtout au début où cela reste assez elliptique.

Les acteurs à chaque tranche d'âge sont justes et le film est quand même moins dramatique que le livre.

La Solitude des nombres premiers

J'avais toujours imaginé le Paradis sous la forme d'une bibliothèque.

Jorge Luis Borges 

1899-1986 

4ème de couverture : 

Chaque soir, d'affreux fantômes viennent terroriser Marika dans sa chambre. Alors, un jour de carnaval, la petite fille décide de les faire fuir à tout jamais : forte du grand masque de sorcière qu'elle porte sur le nez, voilà qu'elle ose enfin les affronter... et les chasser.

Mon avis : 

Des illustrations sur double page pour donner plus d'ampleur aux personnages, un masque de sorcières qui ferait peur aux plus téméraires, tout est réuni pour faire un album réussi. 

Les fantômes ont des têtes très expressives et sont à mourir de rire, plus drôles qu'effrayants. Mais quand Marika arrive avec mon masque là ça ne rigole plus et le lecteur non plus d'ailleurs !!

Un livre qui montre aux enfants que l'on peut être plus fort que ces peurs. Rassurant non ?

 37/40

Dans la catégorie MUSIQUE 

4ème de couverture : 

Elle est orpheline. Elle a été élevée au couvent. Elle est l'héritière d'une grande fortune et filleule de la reine de France, Maris de Médicis. Elle s'appelle Lorenza Davanzati.

Son destin bascule lorsque son charmant fiancé, Vittorio Stozzi, est assassiné la veille de son mariage au moyen d'une dague accompagné d'un billet : "quiconque prétendra épouser la jeune fille mourra de la même façon". Lorsque la reine de France est menacée d^'être répudiée par Henri IV, excédé par son affreux caractère et ses folles dépenses, elle demande l'aide de sa riche filleule. Lorenza accepte. Il faut qu'elle gagne à la cause de la reine le plus vieil ami et conseiller d'Henri IV, le marquis Hector de Sarrance. Comment ? En épousant son fils Antoine. Mais Antoine est amoureux d'une fille d'honneur de la reine et ne veut pas épouser Lorenza. C'est donc le père qui épousera la belle Florentine puisque on fils n'est pas libre ... Jusqu'au jour où Lorenza est présentée à la Cours et qu'Antoine, en la voyant, est victime d'un coup de foudre.

Alors, les passions, les intrigues et les meurtres vont se déchainer.

A suivre, le couteau de Ravaillac.

Lu par Muranyl Kovacs et Hervé Lavigne.

Mon avis : 

Que de rebondissements dans ce roman historique. Beaucoup de personnages, des références historiques, des descriptions sur la vie de l'époque où la femme est une monnaie d'échanges.

On ne s'ennuie pas un instant, les lecteurs sont de vrais acteurs qui personnalisant chaque personnage pour permettre de s'y retrouver.

Seule remarque à faire le découpage des plages m'a semblé très étrange.

Je vais m'empresser de prendre la suite.

 Pour ce mois de septembre, Sylire nous demandait d'écouter un livre qui se passe sur le continent européen (hors France) .... je suis un peu à côté de la plaque mais ce qui compte c'est de participer !

Dans la catégorie MUSIQUE