• Se lever à nouveau de bonne heure de

    4ème de couverture :

    Paul O’Rourke est un dentiste hors-pair, un New-Yorkais qui entretient avec sa ville des rapports ambigus, un athée convaincu, un supporter désenchanté des Red Sox, et grand amateur de mokaccino. Et pourtant il est hors du monde moderne. Son métier, certes, occupe ses journées, mais ses nuits ne sont qu’une succession de regrets ; il ressasse les erreurs qu’il a commises avec Connie, son ex-petite amie (qui est également l’une de ses employées) et, tour à tour, vitupère ou s’émerveille devant l’optimisme du reste de l’humanité.
    Ainsi va sa vie, jusqu’à ce que quelqu’un se fasse passer pour lui sur le web. Impuissant, Paul O’Rourke voit, avec horreur, paraître en son nom un site internet, une page Facebook et un compte Twitter, qui semblent vouloir faire l’apologie d’une religion ancienne tombée dans l’oubli. Mais cette imposture on line, bientôt, ne se contente plus d’être une simple et odieuse atteinte sa vie privée. C’est son âme même qui se retrouve en danger, car son double numérique est peut-être bien meilleur que sa version de chair et de sang. Ce nouveau roman de Joshua Ferris, vertigineux d’inventions, emprunt d’un humour caustique, s’attaque aux trois fondamentaux de notre existence moderne : le sens de la vie, l’inéluctabilité de la mort, et la nécessité d’avoir une bonne hygiène dentaire.

    Mon avis : 

    Cela aurait pu être un bon thriller ou un roman initiatique, il n'en est rien, c'est juste un dentiste qui se fait avoir et rame à trouver sa place dans la vie. 

    En hygiène dentaire et base ball, pas grand chose à dire et quand enfin il se passe quelques choses : son identité est usurpé sur le net on tourne en rond autour de la religion, l'éternelle combat juif . catholique.

    C'est long, c'est long c'est long même pas sauvé par le final ! 

    Merci aux éditions  Se lever à nouveau de bonne heure de   et à Se lever à nouveau de bonne heure de

     

    1 mois = 1 illustration : une dominante de gris

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    Dans la catégorie LETTRE ISOLEE

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  • Histoire de la violence de Edouard Louis

    4ème de couverture : 

    "J'ai rencontré Reda le soir de Noël 2012, alors que je rentrais chez moi après un repas avec des amis, vers quatre heures du matin. Il m'a abordé dans la rue et j'ai fini par lui proposer de monter dans mon studio. Ensuite, il m'a raconté l'histoire de son enfance et celle de l'arrivée de son père en France, son père qui avait fui l'Algérie. Vers six heures du matin, il a pris plusieurs de mes affaires, il a sorti un revolver et il a dit qu'il allait me tuer. Il m'a insulté, frappé, violé. Le lendemain les démarches médicales, policières et judiciaires ont commencé, qui, plus qu'elles ne réparent la violence, la prolongent et l'aggravent." Ce livre retrace l'histoire de cette nuit et des jours suivants. Construit comme un huis clos, il tient son originalité de la puissance de son sujet, et de sa construction formelle. En effet, plus tard, Edouard se confie à sa soeur, qui décrit à son tour les faits à son mari. Edouard l'entend par une porte entrouverte. Les deux récits s'entremêlent dans une spectaculaire opposition de langages, offrant des points de vue différents sur ce qui s'est passé cette nuit-là, sur ce qui peut permettre de comprendre les dynamiques de l'agression et du traumatisme. Ils évoquent l'enfance d'Edouard, mais aussi celle de Reda et de son père, les effets de l'émigration, du racisme, de la misère. Et posent des questions sur les mécanismes judiciaires auxquels les victimes sont confrontées ou encore sur le rôle de l'amitié. Ce livre propose une histoire de la violence, de ses origines, ses raisons et ses causes.

    Mon avis : 

    Autant j'avais beaucoup apprécié "en finir avec Eddy Bellegueule" autant celui ci m'a paru long et moins passionnant.

    J'ai trouvé que l'auteur tournait beaucoup autour de son nombril même si je comprends que ce qu'il a vécu soit obnubilant.

    Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt de l'effet de style : faire raconter à sa soeur les faits. 

    Je reste donc perplexe !


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  • La couleur du lait de Nelly

    4ème de couverture : 

    1831. Mary une jeune fille de 15 ans mène une vie de misère dans la campagne anglaise du Dorset. Simple et franche, mais lucide et entêtée, elle raconte comment, un été, sa vie a basculé lorsqu'on l'a envoyée chez le pasteur Graham, pour servir et tenir compagnie à son épouse, une femme fragile et pleine de douceur. Avec elle, elle apprend la bienveillance. Avec lui, elle découvre les richesses de la lecture et de l'écriture... mais aussi obéissance, avilissement et humiliation. Un apprentissage qui lui servira à coucher noir sur blanc le récit tragique de sa destinée. Et son implacable confession. Nell Leyshon réalise un travail d'orfèvre avec ce portrait inoubliable, où vibre la voix lucide et magnifique de son héroïne.  

    Mon avis : 

    Une belle écriture pour nous raconter une vie tragique, peut être pas très originale mais pleine de pudeur, de ressenti avec des petites phrases qui reviennent comme un refrain.

    Une histoire tout en douceur avec un dénouement que l'on ne sent pas vraiment venir.

    Le choix ne va pas être facile quand il va falloir voter pour le prix 

    Petit traité des privilèges de l'homme mur et autres réflexions nocturnes de Flemming Jensen

     

    Traduit de l'anglais (Royaume-Uni)

    La couleur du lait de Nelly Leyshon

    dans la catégorie COULEUR

    La couleur du lait de Nelly Leyshon


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  • Le fantôme de l'opéra de Gaston Leroux

    4ème de couverture : 

    Un des meilleurs Gaston Leroux... Un beau et grand roman qui ravira les amateurs de fantastique et de musique.

    Mon avis : 

    Ce livre faisait parti des romans classiques stocké dans ma liseuse à l'achat. Je 'men suis gardée quelques uns que je vais picorer de temps en temps.

    J'avoue que je n'ai pas été passionnée par ce roman j'ai eu l'impression de tourner en rond dans les coulisses de l'opéra. Je me suis souvent demandée si je n'avais pas déjà lu certains passages. 

    Un roman qui m'a vraiment semblé vieillot, sans rythme.

    Dans la catégorie SPECTACLE

    Le fantôme de l'opéra de Gaston Leroux


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  • Les Chroniques de Lady Yoga de Rain Mitchell

    4ème de couverture : 

    Au studio de yoga de Lee, on apprend à lâcher prise. Un art qui ouvre de nouvelles perspectives à Katherine, masseuse et ex-junkie ; Imani, star de télé dépressive ; Stephanie, agent à Hollywood, paumée ; et Graciela, danseuse abîmée guettant le casting. Mais lorsque Lee se voit offrir l'opportunité d'un mirifique contrat avec YogaHappens, le véritable Starbucks du yoga, elle glisse doucement vers l'intranquilité. Comment pourrait-elle trahir ses fidèles de toujours ? Encouragée par son futur ex-mari Alan, Lee va-t-elle se laisser tenter par cette proposition ? Chroniques originales d'une communauté farfelue.

    Un réjouissant cocktail de drôlerie et de sagesse. 

    Mon avis : 

    Bien sur ce n'est pas un grand roman mais ça parle de yoga et je voulais voir jusqu'où ça allait. Et il y a vraiment de bonnes choses, on voit le coté très consumérisme des américains avec ces techniques, tous les clubs ouverts un peu partout, l'étalage des belles silhouettes, la course au jeunisme (ça c'est le coté plus négatif) Mais on parle aussi et c'est le plus important, de l'investissement personnel du prof, de l'engagement auprès de ses élèves, un peu du bienfait des postures, l'accompagnement vers la détente. On voit aussi l'évolution des personnages grâce à la pratique du yoga.

     

    Les Chroniques de Lady Yoga de Rain Mitchell

    56 points

    Les Chroniques de Lady Yoga de Rain Mitchell 

     N° 27 dans la Book Jar de Enna

     et 33 points pour le groupe des Palistes Anonymes 


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