• Se mensonges et banlieue chaudes de Marie Minelli

    4ème de couverture : 

    Descendante d'Helena Rubinstein, Sara vit à Neuilly entre son père, industriel blindé, sa mère éditorialiste chez Elle, et son petit ami Amaury de Saint Sauveur. Elle travaille à la « fondation pour les femmes-du-monde » que dirige sa bourgeoise fin-de-race de belle-mère, et brunche souvent avec ses deux meilleures copines aussi vénales que futiles. Mais Sara ne se sent pas à sa place et décide de gagner son indépendance. Pas de pot, c'est ce moment que choisit Amaury pour la demander en mariage en public. Elle est piégée… Par une suite de malentendus, Sara postule à un programme diversité chez France Télévisions et se fait passer pour une Marocaine de Seine-Saint-Denis afin de décrocher le job qui la mènera à l'indépendance professionnelle. C’est là que son chemin croise celui du mystérieux Djalil. Et si son salut se trouvait de l'autre côté de périph' ? Peut-elle décemment quitter sa vie confortable à Neuilly pour aller vivre avec ce banlieusard qui ne lui promet rien ? Sara pourra-t-elle tout avoir, la fortune et le plaisir, la sexualité et le mariage ? De rebondissements en mensonges, scènes de sexe débridées et déclarations d’amour, un mélange détonnant entre le grand théâtre de quiproquos à la Marivaux et le film Tout ce qui brille. Avec un ton irrésistible, féminin mais pas cruche, drôle mais pas lourd, branché mais pas bobo, Sexe, mensonges et banlieues chaudes nous entraîne dans les coulisses des médias et nous fait voyager des immeubles cossus de Neuilly aux cités du 93. Hommage vibrant à l’ouverture aux autres, Roméo & Juliette version érotico-moderne, ce roman se révèle un hymne aux femmes de cette génération, tiraillées entre idéalisation du couple et désir d’indépendance, fantasmes et réalité, hyperréalisme et troisième degré. Avec de vraies scènes de sexe à l'intérieur !! Un roman écrit par une fille, pour les filles, une comédie érotique et romantique dans la lignée de Sex in the kitchen, d'Octavie Delvaux (10 000 ex vendus).

     

    Mon avis : 

    Aussi vite lu qu'oublié, un roman sans grand interêt le milieu dans lequel il se passe est superficiel, Sara essaie de s'en libérer ok. On la suit comme on regarde une série B à la tv en faisant autre chose comme un fond sonore. Les scènes de sexe annoncées débridées sont assez banales et en tous cas vues et revues. 

    Un roman kleenex pour participer au challenge de millefrasques

    Se mensonges et banlieue chaudes de Marie Minelli

    Un mois = une illustration : ciel

    Sexe mensonges et banlieue chaudes de Marie Minelli

     

     


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  • Fleur de Tonnerre de Jean Teulé

    4ème de couverture : 

    Ce fut une enfant adorable, une jeune fille charmante, une femme accomplissante et dévouée. Elle a traversé la Bretagne de part en part, tuant avec détermination tous ceux qui croisèrent son chemin : les hommes, les femmes, les vieillards, les enfants et même les nourrissons. 

    Elle s'appelait Hélène Jégado, et le bourreau qui lui trancha la tête le 26 février 1852 sur la place du Champs de Mars de Rennes ne sut jamais qu'il venait d'exécuter la plus terrifiante meurtière de tous les temps.

    Sous la plume acérée de Jean Teule, Hélène reprend vie et accomplit son destin, funeste et fascinant.

    Mon avis : 

    Je ne serai pas si dur que certains à propos de ce titre certes il est loin d'être le meilleur de Jean Teulé, l'histoire est assez répétitive et son style moins piquant que d'habitude mais j'ai quand même aimé ce voyage à travers la Bretagne, et surtout les 2 normands perruquiers qui font tache mais reviennent comme un refrain dans la vie d'Hélène en apportant humour et légèreté.

    LC avec Sybelline

    Fleur de Tonnerre de Jean Teulé

    Coche une case 

    Livre avec de mauvaises critiques

    Fleur de Tonnerre de Jean Teulé


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  • Soie de Alessendro Baricco

     

    4ème de couverture : 

    Vers 1860, pour sauver les élevages de vers à soie contaminés par une épidémie, Hervé Joncour part au Japon. Entre les monts du Vivarais et le Japon, c'est le choc de deux mondes, une histoire d'amour et de guerre, une alchimie merveilleuse qui tisse le roman de fils impalpables. Des voyages longs et dangereux, des amours impossibles qui se poursuivent sans jamais avoir commencé, des personnages de désirs et de passions, le velours d'une voix, la sacralisation d'un tissu magnifique et sensuel, et la lenteur, la lenteur des saisons et du temps immuable. Dès sa parution, Soie a imposé Alessandro Baricco comme le plus talentueux des jeunes écrivains italiens.

    Mon avis : 

    Entre voyage et amour, un beau texte poétique comme Alessendro Baricco sait les faire. Hervé Joncour traverse la vie comme un montagnard un pas après l'autre sans grande fantaisie mais avec lenteur et détermination.

    Des chapitres courts, certains passages comme le refrain des saisons et des années qui passent. On voyage, on traverse l'Europe, on regarde la nature et les gens entre rêves et réalité. 

    Une lecture apaisante.

    Soie de Alessendro Baricco

     

     


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  • Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de

    4ème de couverture : 

    1946, alors que les Britanniques soignent les blessures de guerre, Juliet Ashton, écrivain en manque d'inspiration, entreprend une correspondance avec les membres attachants d'un cercle de Guernesey. De confidences en confidences, la page d'un nouveau roman vient de s'ouvrir pour la jeune femme, peut-être aussi celle d'une nouvelle vie... " 

    Mon avis : 

    Un roman tel un hymne à la vie, optimiste malgré la période pendant laquelle il se déroule. L'enthousiasme ambiant est communicatif et j'ai repris ce livre chaque soir avec plaisir.

    Au delà de ces échanges de lettres c'est aussi tout la construction d'un roman à venir que l'on découvre, le travail de l'auteur, la relation avec l'éditeur, les recherches menées pour être au plus près du personnage principale. 

    Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows

     

    1 livre = 1 illustration : feuille

    Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows


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  • La maladroite de Alexandre Seurat

    4ème de couverture :

    Inspiré par un fait divers récent, le meurtre d'une enfant de huit ans par ses parents, La maladroite recompose par la fiction les monologues des témoins impuissants de son martyre, membres de la famille, enseignants, médecins, services sociaux, gendarmes… Un premier roman d'une lecture bouleversante, interrogeant les responsabilités de chacun dans ces tragédies de la maltraitance.

     Mon avis : 

    Un livre très factuel inspiré d'un fait réel où se succèdent les témoignages de ceux qui ont vu mais n'ont rien fait ou plutôt rien pu faire. 

    L'écriture est sobre, froide. On sent l'émotion de certains, le désarroi, la manipulation, l'obsession et surtout l'innocence de cette enfant qui semble être dans un autre monde. Pas de description de cette violence subie tout est dans les non-dits, les constatations. On a envie de faire bouger les choses surtout dans les services sociaux dont la lenteur a contribué à l'issue fatale.

    La tension monte tout au long du livre, c'est fort  d'autant plus que cette enfant a existé et que l'on pourrait être chacun de ces témoins.

    L'avis de Nadine ou de Nathalie

    Merci aux éditions du Rouergue et à Chapitre #MRL15 #PriceMinisterLa maladroite de Alexandre Seurat

     

    La maladroite de Alexandre Seurat

    Dans la catégorie GROS MOT

    La maladroite de Alexandre Seurat


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