• Reine Rouge de

    4ème de couverture : 

    Antonia Scott est spéciale. Très spéciale.

    Elle n'est ni flic ni criminologue. Elle n'a jamais porté d'arme ni d'insigne, et pourtant, elle a résolu des dizaines d'affaires criminelles.
    Avant de tout arrêter. Depuis un tragique accident, Antonia se terre dans un appartement vide et n'aspire qu'à une chose : qu'on lui fiche la paix.
    C'était compter sans l'inspecteur Jon Gutiérrez. Missionné pour lui faire reprendre du service, il parvient à la convaincre d'étudier un dernier dossier, celui d'un assassin sans scrupule qui s'en prend aux héritiers des plus grandes fortunes d'Espagne. Sa particularité ? L'homme ne semble motivé ni par l'appât du gain, ni par le plaisir de tuer.
    Un cas complexe auquel la police madrilène n'entend rien.
    En un mot, le terrain de jeu favori d'Antonia Scott.

    Mon avis : 

    Un jeune homme est retrouvé chez lui mort alors qu'il semble être statufié. Seule Antonia Scott, avec ses capacités hors normes pourra démêler cette énigme, mais depuis l'accident de son mari elle s'est retirée dans son appartement et ne veut plus entendre parlé de rien. Jon Gutiérrez, pour qu'une faute professionnelle soit effacée, est missionné pour faire changer d'avis Antonia. 

    Voici un nouveau duo d'enquêteurs un peu particulier, Antonia pour ses capacités et Jon pour être un peu toujours à la limite. Nous allons les voir s'apprivoiser pour mener cette enquête quasi secrète dans les riches sphères espagnoles. 

    Une enquête un peu fouillie mais qui tient malgré tout en haleine. Elle manque aussi parfois de précision mais on se laisse prendre au jeu à imaginer ce roman passait à l'écran. 

    Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado

    Roman espagnol

    Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado

     

    Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado

    Dans la catégorie COULEUR (5)

    Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado

    Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado

    477 p (13037 - 4326)


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  • Mamie Luger - Centenaire, Féministe... et serial Killeuse de Benoit Philippon Mamie Luger - Centenaire, Féministe... et serial Killeuse de Benoit Philippon

    Mon avis : 

    Pour protéger un petit couple en cavale, Berthe, 102 ans, se fait arrêter et finit en garde à vue pendant laquelle elle va bien prendre son temps pour raconter sa vie qui n'est pas banale, loin de là. Ventura, l'inspecteur qui l'interroge va aller de surprise en surprise, et nous avec. 

    Sur un ton enjoué, nous suivons la vie de Mamie Luger depuis sa tendre enfance avec sa grand mère qui l'a mise en garde sur bons nombres de déboires qu'elle risquait rencontrer dans sa vie, sans pour autant ne pas la laisser libre de vivre ses expériences. Féministe, libre avant l'heure, elle s'est imposée face aux hommes, a su se défendre quand c'était nécessaire bien au delà de ce que l'on pourrait imaginer. 

    Elle est émouvante et attachante cette mamie, bien maline aussi d'autant qu'à son âge elle n'a plus grand chose à perdre, et s'en donne à coeur joie, avec une répartie sans faille qui m'a bien fait rire. 

    Un vrai bon moment de lecture qui parcourt un siècle de vie.

    L'avis de MHF

    Mamie Luger - Centenaire, Féministe... et serial Killeuse de Benoit Philippon

     

    Mamie Luger - Centenaire, Féministe... et serial Killeuse de Benoit Philippon

    Dans la catégorie PONCTUATION (5)

    Mamie Luger - Centenaire, Féministe... et serial Killeuse de Benoit Philippon

    Mamie Luger - Centenaire, Féministe... et serial Killeuse de Benoit Philippon

    384 p (10077 - 1556)

     

     


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  • Rouge cendre de

    4ème de couverture : 

    Une lettre de Manon. Cette conne, elle refusait de lui écrire des mails. Elle disait que c'était de la faute de la technologie, de son accélération démente si on en était là : en enfer.

    Manon, journaliste à l'AFP, et Esteban, photographe et agent secret, vivent un amour passionnel et toxique. À la suite des attentats du Bataclan, Esteban est envoyé en mission contre Isis. La surveillance dont Manon fait l'objet ainsi que la peur de perdre l'homme qu'elle aime la poussent à se révolter contre l'hypocrisie du monde et ses valeurs consuméristes. Elle décide de partir en Bulgarie, dans les forêts du grand Balkan. C'est compter sans les ingérences étrangères qui oeuvrent à l'insu de Manon et d'Esteban, car ce voyage va les précipiter dans un engrenage dont nul ne sortira indemne... Rouge cendre est à la fois un roman d'espionnage envoûtant et un thriller sentimental palpitant.

    Mon avis : 

    Manon est journaliste à l'AFP. Elle rencontre Esteban, photographe et agent secret, sur une mission et ils tombent amoureux l'un de autre. Les déplacements d'Esteban pèsent de plus en plus à Manon qui s'inquiète lourdement lors de ses longues absences. Petit à petit le monde lui semble de plus en plus absurde, elle décide de partir s'isoler dans la nature en Bulgarie. 

    Ce roman s'épanche longuement sur le traitement de l'information, la vitesse à laquelle tourne le monde, les missions à l'étranger, espionnage, mais aussi le sentiment amoureux, les relations disfonctionnelles et à distance etc ... Et l'entrée dans le vif du sujet se fait un peu attendre, je me demande même en refermant ce livre qui la promesse annoncée est vraiment tenue.

    Ce roman raconte plutôt pour moi un expérience, celle de s'isoler et d'en regarder comment le vivent chacun  des membres du couples et d'observer ce qu'ils en deviennent, sous fond certains d'actualité, d'information et de conflit. 

    Les personnages qui se veulent avoir un caractère fort finissent par être bien fade et  manquent de subtilités et le style d'écriture n'est pas fluide et part par moment dans des digressions qui desservent plus qu'autre chose.  

     

    Merci Rouge cendre de Julie Manarra

     

    Rouge cendre de Julie Manarra

    Rouge cendre de Julie Manarra

    dans la catégorie COULEUR (4)

    Rouge cendre de Julie Manarra

    Rouge cendre de Julie Manarra

    270p (8525 - 1325)


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  • Des poignards dans les sourires de Cecile Cabanac

    4ème de couverture : 

    Catherine Renon n'a plus vu son mari François depuis des jours et ne semble pas s'en émouvoir. Dans ce coin d'Auvergne où les rumeurs blessent et tuent, pas question de prêter le flanc à la calomnie. Et surtout pas à sa belle-mère, qui voue à son fils un culte tout en démesure. 

    Virginie Sevran et Pierre Biolet, du SRPJ de Clermont-Ferrand, ont été appelés pour constater la présence d'un corps démembré et en partie brûlé au Col des Goules. C'est la première enquête de Virginie depuis qu'elle a quitté le Quai des Orfèvres pour la province. Quant à Pierre, il observe sa nouvelle coéquipière d'un œil à la fois bienveillant et inquiet. Qu'est-elle venue chercher ? 
    Quand l'enquête met un nom sur ce corps, celui de François Renon, les questions les plus folles surgissent, avec une seule certitude : tous les meurtriers possibles de ce fils de bonne famille sont autant de facettes d'une victime annoncée.

    Mon avis : 

    Le roman démarre fort sur le meurtre de François alors qu'il passe le weekend seul chez lui, sa femme étant partie avec les enfants chez sa soeur. Lorsqu'elle revient, la maison est sans dessus dessous, son mari a disparu, elle continue à vivre quasiment comme si de rien n'était. Quand le corps démembré est retrouvé, l'identification met un certain temps à être faite et l'enquête va piétiner longuement au vu des réactions étonnantes de la famille (femme, mère et soeurs de la victime)

    C'est assez bien mené, les personnages ont des profils psychologiques déstabilisants et ne réagissent pas comme on pourrait s'y attendre ce qui fait tout l'intérêt du livre et maintient le suspens. Grâce au fils on découvre aussi le personnage de François qui est loin d'être tout lisse et nous permet de comprendre le motif du meurtre. 

    Alors que j'ai été assez prise par cette lecture au moment d'écrire cette chronique il a fallu que je me replonge dans le résumé pour savoir de quoi il en retournait. Ce qui pourrie que malgré une certaine originalité, cette lecture se retrouve au final assez banal. 

    Des poignards dans les sourires de Cécile Cabanac

    dans la catégorie OBEJT (4)

    Des poignards dans les sourires de Cécile Cabanac

    Des poignards dans les sourires de Cécile Cabanac

    512 p (7183 - 3035)


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  • Millenium 6 - La fille qui devait mourir de

      Millenium 6 - La fille qui devait mourir de

     

    Mon avis :  

    C'est toujours avec un grand plaisir que je retrouve Lisbeth Sanders et Michael Blomqvist, d'autant plus que je viens de voir que c'était le dernier opus de la série. 

    Un SDF est retrouvé mort et personne ne sait qui il est ni d'où il vient, l'enquête ne va pas être facile d'autant que Lisbeth est partie en Russie régler ses comptes avec sa soeur. 

    C'est quasiment 2 affaires que nous suivons en parallèle dans ce roman, l'enquête sur le SDF et le jeu de cache cache entre Lisbeth et sa soeur. J'ai trouvé un peu brouillon du coup avec pas mal de personnages dans le milieu de la politique ce qui ne me passionne pas vraiment.

    J'ai bien aimé les passages d'action un peu moins l'enquête en elle même. Ce n'est à mon sens pas le meilleur.

    Millenium 6 - La fille qui devait mourir de david Lagercrantz

    Millenium 6 - La fille qui devait mourir de david Lagercrantz Book Jar n°16 de Février

    Dans la catégorie FAMILLE (3)

    Millenium 6 - La fille qui devait mourir de David Lagercrantz

    Millenium 6 - La fille qui devait mourir de David Lagercrantz

    Millenium 6 - La fille qui devait mourir de David Lagercrantz

    400 p (6168 - 1508) 

     

     


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