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4ème de couverture :
Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais son regard se fige, elle devient livide. Ce qu'elle va finalement vous dire, vous auriez préféré ne pas l'entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.
C'est ce qui va arriver à Jonathan. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver...Mon avis :
Jonathan, fraichement séparé, père d'une petite fille, agent en assurance, ne trouve plus trop de sens à sa vie, jusqu'à ce qu'il croise une bohémienne qui lui fait une révelation qui va changer sa vie. Pour se remettre de ses émotions il va se réfugier chez sa tante qui va lui faire porter un autre regard sur la vie.
Gentil roman initiatique, qui n'apporte pas grande surprise mais reste agréable à lire. L'ecriture est fluide, le personnage de Jonathan est attachant. on se laisse prendre par l'envie d'aller jusqu'au bout même is on se doute que la fin ne sera pas une grande surpise.
Roman idéal pour les vacances.
Dans la catégorie MOMENT DE LA JOURNEE (7)
288 p ( 20326 - 288)
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4ème de couverture :
Pour Swami Prajnanpad, spiritualité et autonomie ne font qu'un : il s'agit de trouver dans sa vie sa propre liberté d'être ! Colette Roumanoff a rencontré le philosophe indien Swami Prajnanpad à l'âge de 26 ans. Ses paroles l'ont accompagnée, jour après jour, dans un dialogue ininterrompu qui lui a permis de régler les graves problèmes qu'elle avait avec sa mère depuis l'enfance, de calmer ses angoisses, d'élever ses enfants et enfin, bien plus tard, d'affronter et d'accompagner l'Alzheimer de son mari Daniel jusqu'au bout.
En modifiant peu à peu la vision qu'on a de soi, de l'autre et du monde, on peut en effet arriver à accepter de vivre l'impermanence, et jouir d'une fluidité intérieure face aux situations. Ce livre expose un véritable art de la transformation, où l'on passe progressivement de la souffrance à l'apaisement et de l'apaisement au bonheur. Pour Swami Prajnanpad, spiritualité et l'indépendance ne font qu'un.
Il montrait le chemin à Colette mais c'était à elle d'inventer son parcours, de marcher à travers ses émotions, ses relations à autrui, ses goûts et ses dégoûts, d'explorer son passé, ses désirs, afin de vivre pleinement sa vie.Mon avis :
Colette Roumanoff partage son parcours de vie accompagnée par les enseignements de Swami Prajnanpad. Elle nous raconte sa rencontre avec le maitre, son parcours de prises de conscience, les changements que celà a entrainé dans sa vie.
L'écriture est vive et claire, entrecoupée de phrases de Swami Prajnanpad, qu'elle illustre d'évements de sa vie. C'est agréable à lire, pleins d'enseignements. On perçoit la difficulté de se détacher de certaines blessures de l'enfance, on se rend compte que rien n'est jamais gagné mais aussi tout ce que celà lui a apporté pour affronter les épreuves que la vie impose.
Une lecture apaisante et pleine d'espoirs pour celui qui voudra prendre le chemin de la conscience.
Merci Aux Editions LE RELIE et
290 p (20238 - 2865)
4 commentaires -
4ème de couverture :
Étude de caractère, portrait minutieux, autopsie exhaustive d’un mari égocentrique et d’une épouse qui veut franchir les turbulences, le nouveau roman d’Alice Ferney passe au tamis d’une écriture indiscrète et addictive les heurs et malheurs de la biosphère conjugale.
9 commentaires -
4ème de couverture :
Un témoignage bouleversant et documenté sur un sujet encore tabou
" J'ai deux enfants, j'ai été enceinte trois fois. Comme une femme sur dix, j'ai vécu une fausse couche.
Mettons-nous d'accord dès maintenant, j'ai été enceinte pendant huit semaines. Il n'y avait rien de faux là-dedans. Appelons les fausses couches ce qu'elles sont vraiment, des grossesses arrêtées, des projets d'enfants stoppés net et, parfois, autant de deuils périnataux qu'il faut faire, seul·e·s. Nos fausses couches sont des drames silencieux, des douleurs vécues dans l'ombre.
Le fait qu'une grossesse puisse se terminer aussi précocement est une réalité connue de tous. Et pourtant, nous taisons nos fausses couches consciencieusement. Pourquoi ? De peur d'être jugées, de mettre mal à l'aise, de partager un peu trop ce qu'il se passe dans notre utérus. Il faut passer à autre chose, et vite.
Dans notre société, une femme, c'est une mère en puissance, et une mère, ça met au monde un enfant, ça ne le perd pas en cours de route. Il est temps que cela change.Dans cet ouvrage illustré avec finesse par Mathilde Lemiesle, Sandra Lorenzo livre un témoignage émouvant et parle sans détour d'un sujet encore tabou aujourd'hui. Elle tente également de trouver des réponses aux questions auxquelles elle a dû faire face, en interrogeant des professionnels de santé.
Mon avis :
Sandra Lorenzo raconte sa fausse couche tout en s'appuyant sur l'image qui pèse sur ses femmes qui n'ont pas su mener à terme leur grossesse. Un tabou que lève l'autrice, en invitant d'autres femmes à témoigner.
Un livre qui permet de déculpabiliser et porter un autre regard sur ces fausses couches et les conséquences que celà peut avoir dans la vie des femmes mais aussi des conjoints et des couples. Racontée de manière naturelle, comme le partagerait une amie, cette histoire permettra à bon nombre de femmes de se reconnaitre et de se sentir mieux après cette épreuve.
Les illustrations en noir en blanc apportent un plus à ces propos.
Dans la catégorie MALADIE (7)
170 p (19228 - 1855)
3 commentaires -
4ème de couverture :
De la réalité anatomique, aux mythes qu'il véhicule : une étude détaillée du sexe féminin, à la fois personnelle, scientifique et humoristique.
Mon avis :
Une BD très didactique sur l'anatomie féminine, qui entre vraiment dans les détails de façon ludique colorée sans tabou ni prise de tête. Un livre à mettre entre toutes les mains pour apprendre, ouvrir le dialiogue, comprendre comment les femmes fonctionnent et sont constituées. Instructif et passionnant.
dans la catégorie GROS MOT (5)
270 p ( 19058 - 1685)
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