• Berlin de la lune Kosha et

    4ème de couverture : 

    Brelin est un enfant autiste. Il ne fait rien comme les autres. Il sait lire et ecrire sans avoir ete a lecole, et peut faire a la maison le silence comme la tempete. Ses comportements etranges » decident Jeremie, son frere, a aller vivre chez sa grand-mere africaine, Sylvita. Un jour Brelin voit une publicite sur un parc dattractions ou existerait une machine qui permettrait de rejoindre la lune ! Comme cet astre le fascine, sans rien dire a personne, il decide un matin dy aller ! Alors il disparait. Son frere Jeremie qui laime infiniment meme sil a choisi de sen eloigner part alors a sa recherche...

    Mon avis

    Un album très coloré qui vient nous parler de la différence, celle d'un enfant autistique. On y prend conscience de l'incompréhension de l'entourage, le temps d'adaptation. 

    On essaie d'entrer dans la tête de Brelin, on découvre toutes ces capacités si différentes des nôtres. Mais surtout ce qui transparait tout au ont de l'album c'est l'attachement que cet enfant suscite chez les autres.

    Je ne suis pas très fan des illustrations et ces grands aplats qui me rappellent les dessins animés de mon enfance sans grand relief, mais au final elles collent bien à l'histoire et lui donne une douce chaleur.

    Merci aux éditions Berlin de la lune Kochka et  Charles Dutertre

     

    Dans la catégorie LIEU

    Berlin de la lune Kochka et  Charles Dutertre

     


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  • Le club des vieux garçons de Louis- Henri de la Rochefoucauld

    4ème de couverture :

    Les vieux garçons ont mauvaise presse. Ils sont vus comme des bons à rien, des vieilles pantoufles bonnes pour la poubelle. Quel fâcheux contresens. Par leur décalage, leurs marottes, leur refus du couple et souvent du travail, ne seraient-ils pas plutôt d’authentiques insoumis ? Les derniers vrais punks ?
    François de Rupignac est du bois dont on fait les célibataires endurcis. Étudiant, il lance le Club des vieux garçons, société secrète à l’humour british dont les membres deviennent peu à peu des activistes bizutant banquiers gloutons, artistes prétentieux et autres coquins du monde moderne. Le roman raconte les coups fourrés de ces frondeurs nonchalants.
    Jusqu’à ce que leur désinvolture cède le pas à une certaine inquiétude. Car le vieux garçon peut-il vraiment être l’avenir de l’homme ?

    Mon avis

    Un roman totalement décalé et assez drôle (même si j'y ai trouvé quelques longueurs) l'écriture est fluide mais d'une grand richesse. Les propos tenus portent un discours sans langue de bois sur notre société et nous y fait jeté un regard décalé et parfois dérangeant. 

    Il nous me fait découvrir un monde à milles lieux de mon quotidien, les personnages sont bien trempés sans caricature. 

    L'auteur aurait pu s'essouffler et tourné en rond mais il a su rebondir pour offrir une beau final et nous laisser fermer ce livre le sourire au lèvres.

    Merci à Le club des vieux garçons de Louis- Henri de la Rochefoucauld

     et aux éditions  Le club des vieux garçons de Louis- Henri de la Rochefoucauld

     

    Dans la catégorie FAMILLE

    Le club des vieux garçons de Louis- Henri de la Rochefoucauld


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  • Il nous faut gagner la bataille de Verdun de

    4ème de couverture

    Dans ce roman, Catherine Cuenca a choisi de montrer l'opposition des deux nations française et allemande en alternant les chapitres en fonction des pays. Du côté français, Benoit, 13 ans, vient de perdre sa grand-mère dans un bombardement prés de Verdun. Il se retrouve engaée comme brancardier dans une unité qui monte au front pour lancer la dernière offensive de décembre 1916. Du cote allemand, Max, 13 ans également, dont le père et le frère ont été tués à Verdun en début d'année. Il s'arrange pour gagner le front et se faire embaucher comme cuisinier dans un régiment de grenadiers qui espère contre-attaquer victorieusement et emporter la bataille. Une nuit, ils vont se rencontrer sur le champ de bataille et se sauver la vie mutuellement. L'épilogue délivre un message pacifiste.

    Mon avis

    Un roman doc fort et vivant qui montre toute l'horreur de la guerre à la fois la fascination pour ces jeunes qui veulent s'engager et la confrontation avec la réalité. 

    L'alternance des chapitres entre l'histoire de Benoit et de Max est agréable et permet d'avoir une vision d'ensemble et des différents points de vue de 2 Nations. Celà donne du rythme et l'envie de voir s'ils vont se rencontrer. 

    Le fait que les personnages principaux soient des ados permet aussi sans doute à ce que les jeunes lecteurs s'identifient et prennent mieux conscience de ce qu'a été cette drôle de guerre.

    Un document fort et vivant à utiliser en classe. 

    Lecture conseillée à partir de 10 ans... à respecter sans aucun doute car certaines scènes sont un peu traumatisantes.

    Merci aux Editions  Il nous faut gagner la bataille de Verdun de Catherine Cuenca

    dans la catégorie LIEU

    Il nous faut gagner la bataille de Verdun de Catherine Cuenca


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  • Citation du dimanche #152


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  • 24 heures photo #7  Cette semaine j'aurai du retrouvé mes 2 grands au Futuroscope : cadeau d'anniversaire (20 et 18 ans il fallait marquer le coup non ?) pour finir il ne manquait un à l'appel mais nous avons quand même bien profité entre filles ...

    24 heures photo #7

    Les autres participations chez Patricia


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