4ème de couverture : 

Le voyage en Inde d'un golden boy repenti en quête de sagesse
Avocat d'affaires à New York, amateur de fêtes et de drogues..., Jonathan plaque tout du jour au lendemain pour partir à la recherche du bonheur. Pendant 3 ans, il va à la rencontre de penseurs et de maîtres spirituels à travers le monde, et découvre la méditation, une pratique qui va bouleverser sa vie.

En novembre 2016, il s'envole vers l'Inde pour vivre une expérience radicale : " Vipassana ", ou dix heures par jour, pendant dix jours. Dans un silence total.

Journal intime d'un touriste du bonheur est le récit de cette retraite et des trois mois de périple qui ont suivi. Dans ce carnet de voyage déjanté, Jonathan nous raconte ses tribulations à travers l'Inde : son " shopping spirituel " d'ashram en ashram et de gourou en gourou, son coming out mystique, son apprentissage du sexe tantrique, son combat incessant contre la tyrannie du mental et les addictions...

Voyage initiatique et chronique spirituelle, ce livre irrésistible bouscule les genres littéraires autant que les consciences. Dans un style décomplexé, follement drôle, Jonathan Lehmann nous transmet la richesse des enseignements qu'il a reçus et qui nourrissent, chaque jour, son cheminement vers le bonheur.

Une lecture dont vous ressortirez transformés.

Mon avis : 

C'est sur un ton joyeux et sans prétention que Jonathan Lehmann partage avec nous son voyage en Inde, son shopping spirituel, ses rencontres , son évolution. 

De retraite en ashram, il nous raconte ses difficultés, ses envies, ses doutes avec un regard toujours clair sur ses sensations. Son ton enjoué fait de cette quête un texte facile à lire, vivant et drôle même si se glissent régulièrement des pratiques ou des remarques qui nous interpellent. 

J'ai apprécié la simplicité de ce partage, une sorte de dédramatisation de la chose sacrée que l'on ressent parfois chez certains chercheurs spirituels qui partagent leur parcours. Parfois choqué, agacé , énervé mais aussi conquis, ébahi, il est juste humain en quête de sens avec l'envie farouche d'être heureux et de partager cette envie avec nous, en nous offrant ces trucs. 

Je n'ai jamais eu l'impression qu'il cherche à nous convaincre, il témoigne seulement et c'est là toute l'authenticité de cet écrit. 

Un récit vrai puissant drôle et inspirant. 

 288p

dans la catégorie LECTURE

Mon avis : 

Alors qu'Osa vient de déménager en urgence avec ses parents en Angleterre, elle se découvre des "super pouvoirs" à partir de là de révélations en révélations, de surprises en surprises, un monde nouveau va se révéler à elle, le monde dont est issue sa famille, un monde magique.

A travers les yeux d'Oksa, nous allons donc peu à peu faire connaissance avec Edéfia, son fonctionnement, la vie là bas, les pouvoirs des membres de la famille, re nouer avec son histoire et vivre avec elle nombres d'aventures plus extraordinaires les yeux que les autres. 

Ce roman addictif, lu avec mon fils, vaut largement Harry Potter. Le style est riche et vivant,  les auteures ont imaginé des créatures improbables, des pouvoirs qui font rêver. Ce roman est plein de rebondissements avec des gentils, des méchants, du suspens, des rebondissements. On ne s'ennuie pas une seconde. 

Toute la série est à la bibliothèque nous n'avons pas trainé pour aller chercher la suite ! 

dans la catégorie PRENOM

Les abeilles se portent bien / C'est le début des festivités dans notre belle région ... petite visite d'un élevage d'escargots / on commence à organiser les vacances surtout pour Aloïs : inscription dans les différents centres / c'est les cousinades dans la famille de François petit aller retour sur Aix en Provence : bonne ambiance comme d'hab / Swami reprend du service, je m'inscris illico à sa première retraite ... je serai avec lui pour mon anniversaire comme dirait ma soeur un beau cadeau de l'univers - MERCI LA VIE / François toujours en déplacement il en profite pour aller signer le compromis / Classe verte reportée pour cause de mauvais tout d'un coup on se croirait en mars voire en novembre !! / démarrage de l'enduit à la chaux sur la façade entre 2 averses ça n'avance pas vite / Cérémonie chamanique sur la libération des voeux dans mon dôme  / Petite randonnée à la découverte de la propriété d'un producteur de notre association / Dernier weekend foot : fête du club et tournoi / classe verte pour Aloïs grand beau temps il rentre crevé comme d'habitude / et tout d'un coup c'est la canicule !! / Fête de la musique à l'abri au Lembar'zic, chouette moment avec des potes /Barbecue de l'école / Retraite annulée je reporte à début septembre / Finalisation du séjour à Tours pour retrouver la famille / On va chercher nos petits moutons pour s'occuper de la tonte de notre Grand terrain ! Bienvenue à Dupont et Dupond / Entre conseil à des copains, apéro avec des amis et soirée festive on est bien occupé / Départ pour Tours et un weekend décalé en famille. 

4ème de couverture : 

Jusqu'où aller pour survivre ? 

1867. Une terrible famine dévaste la Finlande. Malgré l'hiver glacial, Marja n'a d'autre solution que de prendre la route avec ses deux jeunes enfants, abandonnant sa ferme et son mari, au seuil de la mort. Elle ira à Saint-Pétersbourg, dans l'espoir d'un sort meilleur. Et ils sont nombreux à se diriger vers le sud, cohortes de paysans errants désespérés mais résolus à survivre. Sur la route, elle rencontre Ruuni, un jeune garçon qui lui semble digne de confiance. Mais face à un tel dénuement pourra-t-il leur venir en aide ? En butte à la méfiance, l'égoïsme et la haine, une lutte de chaque instant s'engage où le vivant tourne au spectre et le climat extrême à l'angoisse pure. 

Peinture sensible d'un calvaire, alternant descriptions réalistes et passages oniriques, La Faim blanche est un roman d'une grande intensité dramatique, où l'on découvre l'une des dernières marches pour la faim à l'orée du XXe siècle. Aki Ollikainen met au jour les abîmes de la nature humaine, mais aussi les espoirs qu'elle fait naître. 

Mon avis : 

Marja décide à la mort de son mari de quitter son domicile pour essayer de trouver un meilleur ailleurs. Avec elle et ses 2 enfants nous traversons des contrées où règnent le froid et la faim. La dureté de ce voyage, l'accueil de ces mendiants par les populations soumises elles aussi à la dure réalité, la mort qui rode, rien en nous est épargné. La souffrance engendrée par la faim ou par la nourriture avalée trop vite, la violence sociale et physique, la mort, tout est décrit avec détail mais poésie.

L'écriture est belle et épouvante, le voyage laborieux mais émouvant. 

Traduit du finlandais 

 151 p

dans la catégorie COULEUR

Ecrire c'est mentir, que raconter c'est inventer. 

Ian Mannok

1949 - 

Mato Grosso