• La ballade de l'enfant gris de Bastite Beaulieu

    4ème de couverture : 

    C’est l’histoire de Jo’, un jeune interne en pédiatrie à la personnalité fantasque, à qui tout sourit.
    C’est l’histoire de No’, un garçon de sept ans, attachant et joueur, qui est atteint d’un mal incurable et ne comprend pas pourquoi sa maman ne vient pas le voir plus souvent à l’hôpital.
    C’est l’histoire de Maria, une mère secrète, qui disparaît à l’autre bout du monde au lieu de rester au chevet de son fils.
    Un matin survient un drame qui lie pour toujours le destin de ces trois êtres.
    Inspiré par le choc ressenti lors de la disparition de l’un de ses jeunes patients, l’auteur nous offre un  troisième roman poignant qui nous entraîne dans une quête initiatique bouleversante. 

    Mon avis : 

    Construit par l'alternance entre l'avant et l'après de la déchirure, ce roman fait penser à un roman fantastique. 

    Même si c'est l'histoire d'un enfant malade, ce roman n'est jamais larmoyant mais on suit No qui reste avant tout un enfant qui fait des farces, s'amuse, attend sa maman avec impatience. 

    On ressent aussi tout le désarroi de ce jeune médecin face à son incapacité à soigner, alors il accompagne, essaie de rendre la vie un peu plus légère. 

    Et pour finir il y a cette mère souvent absente dont on découvre l'histoire peu à peu. Une histoire peu courante, faite de blessures et d'amour.

    Une belle histoire un peu déstabilisant dans sa forme mais qui se lit bien grâce à l'écriture fluide et très visuelle de Baptiste Beaulieu. 

    Quelques photos intercalées dans le texte absorbe le lecteur et permet de faire des pauses scrutatrices. 

    LC avec Enna, allez voir ce qu'elle en pense ICI 

     

    Dans la catégorie COULEUR

    La ballade de l'enfant gris de Bastite Beaulieu

    La ballade de l'enfant gris de Bastite Beaulieu

     


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  • Ardeur des sens, ardeur des cœurs…

     

    Ardeur des sens, ardeur des cœurs, ardeurs des âmes,

    Vains mots créés par ceux qui diminuent l’amour ;

    Soleil, tu ne distingues par d’entre tes flammes

    Celles du soir, de l’aube ou du midi des jours.

     

    Tu marches aveuglé par ta propre lumière,

    Dans le torride azur, sous les grands cieux cintrés,

    Ne sachant rien, sinon que ta force est plénière

    Et que ton feu travaille aux mystères sacrés.

     

    Car aimer, c’est agir et s’exalter sans trêve ;

    O toi, dont la douceur baigne mon cœur altier,

    A quoi bon soupeser l’or pur de notre rêve ?

    Je t’aime tout entière, avec mon être entier.

     

    Emile Verhaeren


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  • Citation du dimanche #202


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  • Je n'ai pas besoin d'argent.
    J'ai besoin de sentiments,
    de mots, de mots choisis avec soin,
    de fleurs comme des pensées,
    de roses comme des présences,
    de rêves perchés dans les arbres,
    de chansons qui fassent danser les statues,
    d'étoiles qui murmurent à l'oreille des amants.
    J'ai besoin de poésie,
    cette magie qui allège le poids des mots,
    qui réveille les émotions et donne des couleurs nouvelles.
     

    Alda Merini


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  • 24 h Photo #56  

    Mars est arrivé et avec lui les giboulées bien sur ce n'est pas top sauf quand elles s'accompagnent de jolis arcs en ciel, toujours fascinants, non ? Et nous avons eu la chance d'en voir plusieurs cette semaine.

    D'autres participations chez Patricia

     

    24 h Photo #56


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