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4ème de couverture :
L'histoire de Petit Piment, un jeune orphelin effectuant sa scolarité dans une institution d'accueil catholique. Lors de la révolution socialiste, il en profite pour s'évader. Adolescent, il commet toutes sortes de larcins. Il trouve refuge auprès de Maman Fiat 500 et de ses dix filles. Mais de nouvelles épreuves lui feront perdre la tête.
Mon avis :
Voyage au Congo avec Petit Piment qui nous raconte son enfance pas facile mais non sans humour dans un orphelinat pendant la révolution socialiste. Des personnages haut en couleur, des noms à dormir dehors, des faits historiques que j'ignorai ou presque. Une balade dans un autre temps en d'autres lieux.
Un roman qui dépayse dans un style enlevé pour une lecture qui se fait plus fluide au fil des pages.
dans la catégorie TAILLE
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En weekend dans la cantal j'ai pris le temps de prendre les photos pour participer au rdv mensuel d'Enna
Le matin j'admirais la campagne auvergnate
et dans la soirée, je préparai une tisane pour une belle nuit
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4ème de couverture :
Dans les semaines qui ont suivi la mort de sa fille Camille, 16 ans, emportée une veille de Noël après quatre jours d'une fièvre sidérante, Sophie Daull a commencé à écrire. Ecrire pour ne pas oublier Camille, son regard "franc, droit, lumineux", les moments de complicité, les engueulades, les fous rires ; l'après, le vide, l'organisation des adieux, les ados qu'il faut consoler, les autres dont les gestes apaisent... Ecrire pour rester debout, pour vivre quelques heures chaque jour en compagnie de l'enfant disparue, pour endiguer le raz de marée des pensées menaçantes. Loin d'être l'épanchement d'une mère endeuillée ou un mausolée - puisque l'humour n'y perd pas ses droits -, ce texte est le roman d'une résistance à l'insupportable, où l'agencement des mots tient lieu de programme de survie : "la fabrication d'un belvédère d'où Camille et moi pouvons encore, radieuses, contempler le monde".
Mon avis :
Quel bel hommage rendu à sa fille avec ce livre. Jamais larmoyant tout en pudeur et en délicatesse. Les mots sonnent justes entre rires et larmes, désespoirs et envie de vivre malgré tout. Les souvenirs les regrets les anecdotes ponctuent cette histoire qui ne s'éternise pas pour autant, car Sophie a voulu se donner un temps assez court pour exulter cette peine : raconter à sa fille disparue comment se sont passé ces derniers jours sur terre alors qu'elle était déjà morte.
Un livre fort à partager entre parents endeuillés pour se sentir moins seul, peut être.
Sophie Daull évoque son premier roman 'Camille, mon envolée'
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4ème de couverture :
Pour un écrivain, il n'est pas de plus grande tentation que d'écrire la biographie de son assassin. Robert des noms propres : un titre de dictionnaire pour évoquer tous les noms qu'aura dits ma meurtrière avant de prononcer ma sentence. C'est la vie de celle qui me donne la mort.
Mon avis :
C'est donc une surprise agréable et drôle avec les difficultés de cette enfants à s'adapter à l'école, l'exigence de celle de la danse et le drame qui pourrait tout faire basculer.
Des reflexions justes qui résonnent en moi de manière particulière mais dans les détails desquels je ne rentrerais pas car le débat n'est pas là.
Je me suis retrouvée dans ce livre, encore une fois bien vite lu, sans doute vite oublié aussi mais agréable moment.
Dans la catégorie PRENOM
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