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4ème de couverture :
Il arrive qu'un homme, chez lui, aille et vienne, fasse les gestes familiers, les gestes de tous les jours, les traits détendus pour lui seul, et que, levant soudain les yeux, il s'aperçoive que les rideaux n'ont pas été tirés et que les gens l'observent du dehors.
François Marthouret restitue parfaitement l'atmosphère lourde de suspicion si caractéristique des romans de Simenon.
Mon avis :
La vie de Spencer Ashby est bien réglée, bien tranquille jusqu'à ce que le cadavre de Belle, la fille d'une amie de sa femme que le couple héberge depuis quelques temps, soit retrouvé dans leur maison. C'est là que commencent les interrogatoires (Spencer étant le principal suspect) et que s'installe l'hostilité dans leur petite ville.
Pour Spencer c'est le "ruminage" perpétuel, il n'est plus sûr de rien, le doute s'installe... L'atmosphère se fait de plus en plus pesante.
C'est bien toute cette lourdeur qui nous porte tout au long de l'écoute magnifiquement bien interprété par François Marthouret.
dans la catégorie MORT
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4ème de couverture :
Les Outrepasseurs viennent enfin de capturer la dernière fée libre, Snezhkaïa, la Reine des Neiges. Ils ignorent qu'ils viennent de déclencher une malédiction qui risque de les anéantir. Peter, qui supporte de moins en moins de se plier à la volonté de Noble, tente de retrouver le Chasseur pour mettre fin à cette lutte séculaire...
Mon avis :
C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Peter dans de nouvelles aventures même si j'ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain.
Encore une fois l'histoire est bien menée, avec des rebondissements un peu de suspens. Tout pour un moment d'évasion imaginaire.
L'avis de Rex
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4ème de couverture :
Vous êtes Viviane Elisabeth Fauville. Vous avez quarante-deux ans, une enfant, un mari, mais il vient de vous quitter. Et puis hier, vous avez tué votre psychanalyste. Vous auriez sans doute mieux fait de vous abstenir. Heureusement, je suis là pour reprendre la situation en main.
Mon avis :
Quel univers étrange décrit dans ce livre, cette pauvre Viviane Elisabeth ne sait plus trop où elle en est. A t elle tué son psychologue ou pas ? Si ça y est elle s'en souvient ... mais ...
L'enquête commence, elle est convoquée, rencontre des témoins, les suit, essaie de comprendre .. Avec elle, on part en filature, on erre dans la ville, on s'occupe un peu de sa fille, on trimbale des couteaux, on observe, on discute ... jusqu'au chapitre final, inattendu.
Dans un style parfois sec, souvent fou, l'auteure nous ballade dans la vie de cette femme quand même un peu dérangée mais surtout complètement perdue.
dans la catégorie PRENOM
5 commentaires -
On met de soi dans un livre (peut être la seule part supportable de nous même)
Arnaud Rykner
1966 -
La belle image p.28
4 commentaires -
©Marina53
Ecrire c'est aimer sans la peur épuisante d'être abandonné.
René Frégni
1947-
Elle danse dans le noir p.29
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