• Elle danse dans le noir de Drago Jancor

    4ème de couverture : 

    Veronika Zarnik est de ces femmes troublantes, insaisissables, de celles que l'on n oublie pas. Sensuelle, excentrique, éprise de liberté, impudente et imprudente, elle forme avec Léo, son mari, un couple bourgeois peu conventionnel aux heures sombres de la Seconde Guerre mondiale, tant leur indépendance d esprit, leur refus des contraintes imposées par l'Histoire et leur douce folie contrastent avec le tragique de l époque.
    Une nuit de janvier 1944, le couple disparaît dans de mystérieuses circonstances, laissant leur entourage en proie aux doutes. Qui était vraiment Veronika ? Quelle fut vraiment sa vie ? Que cachait-elle ?
    Cinq proches du couple tentent alors de cerner l énigmatique jeune femme et délivrent, par fragments, les nombreuses facettes de sa personnalité, et ainsi reconstruisent son histoire, celle de son mari et celle de la Slovénie. Une Veronika Zarnik est de ces femmes troublantes, insaisissables, de celles que l on n oublie pas. Sensuelle, excentrique, éprise de liberté, impudente et imprudente, elle forme avec Leo, son mari, un couple bourgeois peu conventionnel aux heures sombres de la Seconde Guerre mondiale, tant leur indépendance d esprit, leur refus des contraintes imposées par l Histoire et leur douce folie contrastent avec le tragique de l époque.
    Une nuit de janvier 1944, le couple disparaît dans de mystérieuses circonstances, laissant leur entourage en proie aux doutes. Qui était vraiment Veronika ? Quelle fut vraiment sa vie ? Que cachait-elle ?
    Cinq proches du couple tentent alors de cerner l énigmatique jeune femme et délivrent, par fragments, les nombreuses facettes de sa personnalité, et ainsi reconstruisent son histoire, celle de son mari et celle de la Slovénie. Une oeuvre polyphonique magistrale !

    Mon avis : 

    Une disparition pendant la seconde guerre mondiale, vue de plus ou moins loin par ceux qui restent. Peu à peu l'histoire avance à travers leurs souvenirs plus ou moins lointains. Veronika est une femme libre pleine de caractère qui fascine, Léo son mari un homme d'affaire plus consensuel mais à l'esprit ouvert, pour finir ils forment à un deux un couple hors du commun, particulièrement moderne et mystérieux.

    Un roman qui nous tient en haleine même s'il ne se passe pas grand chose mais au final surprenant.

    traduit du Serbe

    Elle danse dans le noir de Drago Jancor

    dans la catégorie PRONOM PERSONNEL

    Elle danse dans le noir de Drago Jancor


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    Les outrepasseurs T3 - Le libérateur de Cindy Van Wilder

     

    4ème de couverture : 

    Alors qu'un hiver des plus rudes s'abat sur la Grande-Bretagne, Peter se retrouve isolé après avoir été sauvé par Arnaut. Lorsque ce dernier tombe dans le coma, la situation semble désespérée. Mais Peter découvre que le sous-sol de Lion House recèle de nombreuses ressources.

    Mon avis : 

    Me voici au dernier opus de cette trilogie fantastique, il est temps car je me lasse.

    Ce volume est plus psychologique entre vengeance, manipulation et révélation et ne répond à mes envies d'aventures et d'évasions que dans le dernier tiers où je retrouve l'écriture dynamique de l'auteure dans la description des combats et des paysages.

    Je suis contente d'être arrivée au bout et je me rends compte que les suites ne sont vraiment pas faites pour moi !

    challenge la trilogie de l'été


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  • Ecoutez vous Brahms... de Françoise Sagan

     

    4ème de couverture :

    Paule a 39 ans, c'est une femme libre et douce, sur qui les années passent avec nonchalance. Son amant, Roger, entretient avec elle une relation légère qui lasse et emprisonne Paule par sa versatilité. Lorsque Simon, un jeune homme de 25 ans, décide de la séduire, elle se laisse aimer, par vengeance mais aussi parce qu'elle veut être heureuse. Les paradoxes et les écueils de l'amour craquèlent peu à peu la surface lisse de son existence. 
    Aimez-vous Brahms ? est paru en 1959 et a été adapté au cinéma avec Ingrid Bergman, Yves Montand et Anthony Perkins en 1960.

    Lu par Irène Jacob

    Mon avis : 

     J'ai bien aimé suivre Paule, une femme abandonnée par son amant et qui tente de retrouver un peu de fraicheur et de joie de vivre dans les bras d'un jeune homme.

    Comme souvent dans l'œuvre Françoise Sagan, les personnages  sont assez perturbés et tracassés par la vie dont ils ne savent pas gouter la spontanéité ni les petites joies du quotidien. Certes Paule est plus souvent seule et dans l'attente de la venue de son amant que dans des soirées ou de moments de partage mais même lorsqu'elle tente de toucher au bonheur dans les bras de ce jeune homme beau et fou amoureux d'elle, elle reste en retrait sans profiter. Les trois personnages sont enfermés dans leur statut  de bourgeois avec une place à tenir imposé par la société et dans laquelle ils ne s'épanouissent pas, ni les uns ni les autres.

    Ce roman aurait pu être pétillant et plein d'allégresse il n'en est rien, mais il ne m'a pas déplu pour autant et reste assez moderne malgré ses 55 ans.

    Un mois = une illustration = bouche

    Aimez-vous Brahms... de Françoise Sagan

     

    Dans la catégorie PRONOM PERSONNEL

    Aimez-vous Brahms... de Françoise Sagan


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  • Ambiguité de Elliott Perlmann

    4ème de couverture : 

    "Est-il fou d'aimer sans espoir ou juste nécessaire?" interroge Elliot Perlman. Simon, le kidnappeur d'enfant, ne se pose pas la question : voici dix ans qu'il rêve de retrouver Anna, son amour de jeunesse. Une obsession dans laquelle il s'enfonce si profondément qu'un beau jour, enlever le fils qu'elle a eu avec un autre lui paraît la meilleure façon de la reconquérir. De cet instant de folie naît un imbroglio de relations improbables, de rencontres absurdes, de coïncidences lourdes de sens et de quiproquos. Si Simon n'avait pas été un instituteur au chômage, il ne serait pas enfermé dans son obsession amoureuse et n'aurait pas été enfermé par la force publique dans une prison de haute sécurité. Mais il vit dans un monde – l'Australie contemporaine – en proie aux illusions destructrices du libéralisme : un monde qui a besoin non d'enseignants mais de courtiers en Bourse, et qui envoie les don quichotte se faire soigner chez les psychiatres. Un monde où l'enfant est un produit marchand apte à doper les ventes des tabloïds – à condition d'être victime d'un ignoble pédophile pervers. Le coup de folie de Simon est raconté par ses sept principaux témoins – sept types "d'ambiguïté". Chacun d'entre eux colore la ligne faussement simple de l'intrigue de ses émotions, de ses désirs et de ses haines, pour former une fresque complexe où se perdre est un plaisir. Ces "histoires dans l'histoire" se cognent, s'imbriquent, et finalement se rejoignent pour mieux poser les vraies questions, dans un vaudeville tragique et somptueux.

    Mon avis : 

    7 personnages, 7 vies, 7 regards sur le même événements pour raconter  l'enlèvement de Sam et essayer de comprendre ce qui est passé par la tête de Simon.

     

    Un roman un peu déstabilisant au début mais dans lequel on entre avec plaisir. Les personnages sont tous pris dans leur problème et restent autour de leur nombril pour comprendre et avancer face à cet enlèvement. Ils sont travaillés, dans l'air du temps et imprégnés dans la société où Simon, marginal, mal compris est la victime idéale.

    644 pages

    Ambiguité de Elliott Perlmann

    Dans la catégories UN SEUL MOT

    Ambiguité de Elliott Perlmann

     

    Tic Tac PAL - 6

     

    Ambiguités de Elliott Perlmann


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  • Vice Versa de

     

    Synosis : 

    Au Quartier Général, le centre de contrôle situé dans la tête de la petite Riley, 11 ans, cinq Émotions sont au travail. À leur tête, Joie, débordante d’optimisme et de bonne humeur, veille à ce que Riley soit heureuse. Peur se charge de la sécurité,  Colère s’assure que la justice règne, et Dégoût empêche Riley de se faire empoisonner la vie – au sens propre comme au figuré. Quant à Tristesse, elle n’est pas très sûre de son rôle. Les autres non plus, d’ailleurs… Lorsque la famille de Riley emménage dans une grande ville, avec tout ce que cela peut avoir d’effrayant, les Émotions ont fort à faire pour guider la jeune fille durant cette difficile transition. Mais quand Joie et Tristesse se perdent accidentellement dans les recoins les plus éloignés de l’esprit de Riley, emportant avec elles certains souvenirs essentiels, Peur, Colère et Dégoût sont bien obligés de prendre le relais. Joie et Tristesse vont devoir s’aventurer dans des endroits très inhabituels comme la Mémoire à long terme, le Pays de l’Imagination, la Pensée Abstraite, ou la Production des Rêves, pour tenter de retrouver le chemin du Quartier Général afin que Riley puisse passer ce cap et avancer dans la vie…

    Le film est présenté hors-compétition au Festival de Cannes 2015 

    Mon avis : 

    Une belle réussite avec ce film qui donne des explications sur le fonctionnement du cerveau et des émotions où petits et grands prennent du plaisir.

    Chaque personnage prend un trait de caractère : la joie, la tristesse, la peur, la colère ou le dégout et est vraiment bien interprété sans exagération. On ne s'ennuie pas une seconde entre rire et larmes parfois.

    Même s'il est annoncé pour un public à partir de 3 ans, la cible est un peu plus âgée : pré ado ? mais les adultes s'y reconnaissent aussi et pas seulement dans le rôle des parents.

    Une suite ??? sur le puberté, j'espère...

     
    Vice Versa
    Vice Versa Bande-annonce VF

     


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