•  proposé par Popottes et Cocottes ... 
     
    "Avis aux amatrices de café : j’organise un concours en partenariat avec la marqueGourmesso, qui permettra à l’une d’entre vous de gagner quatre boîtes de café Gourmesso!

     Tout d’abord, une petite présentation de cette boutique en ligne :  Gourmesso est une société allemande qui commercialise des capsules compatibles avec les machines Nespresso. Celles-ci coûtent en moyenne 30 % moins cher que les capsules originales.
    Quinze variétés de cafés triés sur le volet et provenant des meilleurs récoltes d’Amérique Centrale et du Sud, mais aussi d’Asie, sont actuellement disponibles."

     
    Je partage donc avec vous, cette recette que je fais souvent à la dernière minute quand des invités arrivent à l'improviste ...

     

    80 cl de Café Fort

    100 g de chocolat noir

    50 g de beurre

    2 c à Soupe de sirop d'érable

    1 pincée de canelle

    20 g de farine

     

    Faire fondre le chocolat avec le beurre et le café chaud.

    Ajouter les 2 oeufs, le sirop d'érable, la cannelle.

    Bien mélanger puis ajouter la farine.

    Préchauffer le four à 180°. Verser la préparation au 3/4 dans des ramequins beurrés et sucrés ou des moules à muffins.

    Mettre au four pendant 10 à 12 min, surveiller la fin de cuisson. Les fondants, comme leur nom l'indique doivent restés fondant à coeur.

     

     


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  • Dans ma peau de Guillaume de Fonclare

    4ème de couverture : 

    " Mon corps est un carcan ; je suis prisonnier d'une gangue de chairs et d'os. Je bataille pour marcher, pour parler, pour écrire, pour mouvoir des muscles qui m'écharpent à chaque moment. Mon esprit ressasse d'identiques rengaines ; je ne vois plus les sourires de mes enfants, ni les tendres regards de celle que j'aime ; je ne vois que mes mains qui tremblent, mes bras qui peinent à amener la nourriture à la bouche et mes jambes qui ploient sous le poids d'un corps devenu trop lourd. Je ne suis plus qu'un homme mal assis qui songe sans fin, et si j'ai aimé ce corps, je le hais à présent. Nous cohabitons désormais et il a le dernier mot en tout ; je ne me suis résolu à cette idée que contraint. "

    Mon avis : 

    Drole de surprise avec ce livre ... je m'attendais au témoigne d'une personne enfermée ou presque dans son corps, la déchéance, le regard de l'autre,... il n'en est rien. Guillaume de Fonclare nous raconte sa maladie en parallèle de l'histoire de la première guerre mondiale avec comme support sa fonction de directeur de l'Historial de la Grande Guerre. Etrange écrit mais passionnant. 


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    La lettre à Helga

     

    Présentation de l'éditeur : 

    Mon neveu Marteinn est venu me chercher à la maison de retraite. Je vais passer le plus clair de l'été dans une chambre avec vue plongeante sur la ferme que vous habitiez jadis, Hallgrimur et toi. C'est ainsi que Bjarni Gíslason de Kolkustadir commence sa réponse - combien tardive - à sa chère Helga, la seule femme qu'il aima, aussi brièvement qu'ardemment, du temps de sa jeunesse. Et c'est tout un monde qui se ravive : entre son élevage de moutons, les pêches solitaires, et sa charge de contrôleur cantonal du foin dans ces rudes espaces que l'hiver scelle sous la glace, on découvre l'âpre existence qui fut la sienne tout au long d'un monologue saisissant de vigueur. Car Bjarni Gislason de Kolkustadir est un homme simple, taillé dans la lave pétrifiée de sa terre d'Islande, soumis aux superstitions et tout irrigué de poésie, d'attention émerveillée à la nature sauvage. Ce beau et puissant roman se lit d'une traite, tant on est troublé par l'étrange confession amoureuse d'un éleveur de brebis islandais, d'un homme qui s'est lui-même spolié de l'amour de sa vie.

    Mon avis : 

    Ce roman nous a été présenté comme une longue lettre d'amour, je dirais que c'est plutot le bilan d'une vie d'un monsieur de quatre vingt dix et quelques années. Effectivement il parle de cet amour manqué/raté mais quand même vécu et revient sur sa vie avec poésie, humour et un grand réalisme.

    "Les foyers d'aujourd'hui sont sacrément pauvres du point de vue de notre culture. Les objets qu'on y trouve viennent des quatre coins du monde, le plus souvent sans la moindre indication de leur lieu d'orgine. Or quelle est la différence entre un objet fabriqué maison et un autre qui sort de l'usine ? Le premier a une âme et l'autre non. Car celui qui fait quelque chose des ses mains laisse dans son ouvage une partie de lui même" p. 87

    "On pourrait à la rigueur accepter de vivre en ville, si l'on n'y devenait pas tellement ennuyeux à force d'y habiter. Même les canards de l'Etang, qui voient tout leur tomber cuit dans le bec, perdent leur éclat et leur caractère. Qunad je suis allé à Reykjavik pour le compte de la Coopérative, en me baladant autour de l'Etang, j'ai pu constater que les oiseaux se comportent autrement. Ils ne jouent ni ne manifestent la moindre curiosité, à la différence de leur congénères dans la nature. Les canards de Reykjavik sont devenus exactement pareil aux gens, de tristes parasites qui se chamaillent pour gober ce qu'on leur jette." p. 95

    Un joli roman qui se lit d'une traite mais ne restera pas graver éernellement

    Lu aussi par Lily, Cathulu, Marilyne

    Reçu dans la cadre des  matchs de la rentrée littéraire PriceMinister-Rakuten

    La lettre à Helga de Bergsveinn Birgisson

     

    et premier roman de la rentrée Littéraire pour moi et donc première participation au challenge de Délivrer des livres

    La lettre à Helga de Bergsveinn Birgisson

      


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