• Mes amis Mes amours de Marc Levy

    4ème de couverture :

    Quand deux pères trentenaires réinventent la vie en s'installant sous le même toit, ils s'imposent 2 règles : pas de babysitter et pas de présence féminine dans la maison... Dans le village français, aux coeur de Londres, une histoire d'amitié, des histoires d'amour, des destins qui se croient au fil d'une comédie tendre et enlevée.

    Interprété par Hervé Lavigne.

    Mon avis : 

    Bon c'est du Levy, ça me fait ça à chaque fois et j'insiste, le sujet a toujours un peu d'originalité mais c'est quand même bien ancré dans la vie et c'est lourd ! 

    J'aurai eu envie de légèreté dans les sentiments pas de prise de tête pour une petite comédie romantique.

    Il y a quand même un peu de positif avec le personne de Yvonne et des enfants mais ...

    D'autant que je n'aime pas vraiment la façon de lire de Hervé Lavigne qui prends inspiration un peu trop profondes. 

    Dommage !

     Un livre qui se passe dans une ville ou sa banlieue

    Mes amis Mes amours de Marc Levy


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  • Longues peines de Jean Teulé

    4ème de couverture : 

    Enfermé entre quatre murs, qu'on soit prisonnier ou maton, la vie est presque la même. Pour tenir, il faut pouvoir s'évader, s'échapper de cet ennui poisseux. Certains abusent des humiliations, d'autres perdent pied, d'autres encore s'inventent des histoires d'amour. Dans cette maison d'arrêt, un petit monde se crée avec ses règles et ses rituels, en attendant le jour de la libération ou de la retraite. Des histoires de dingues, des histoires tendres, des histoires vraies.

    Mon avis

    Encore un drôle de sujet abordé par Jean Teulé avec ce roman sur la vie en milieu carcéral.

    En effet il nous ouvre les portes de la prison et nous entraine dans un quotidien dur et fou, aussi bien du coté des matons que des prisonniers. Basé sur des sites réels, ce récit est ponctué d'anecdotes aussi drôles que dramatiques. De la violence et de la douceur, des termes crus ou tendres, des personnages haut en couleur tout y est pour rendre ce livre plus plaisant qu'il pourrait y paraitre au premier abord. 

    Une prise de conscience que ce milieu marque pour ne pas dire imprègne tous ceux qui y passent d'un coté comme de l'autre.

     

     


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  • Un souffle une ombre de Christian Carayon

    4ème de couverture : 

    Il faisait particulièrement doux ce soir-là. 
    Nous étions en été, un samedi soir, la fête annuelle de la base nautique des Crozes avait battu son plein toute la journée. 
    Justine avait demandé à ses parents, également présents, de pouvoir passer la nuit avec sa cousine et deux copains de classe sur l'îlot des Bois-Obscurs, au centre du lac. Un camping entre pré-adultes. Une récompense pour le bon travail fourni toute l'année. Promis, ils seraient de retour le lendemain, à 10 heures au plus tard. 
    Le dimanche matin, les adolescents se font attendre. L'un des parents, de rage, parcourt la distance à la nage. Sur l'îlot il découvre l'étendue du massacre : les corps meurtris, outragés, dénudés. 
    Les familles des victimes, des accusés, la région, tous vont connaître le chaos et le déclin. 
    Ma vie d'enfant a basculé ce jour-là. Quelqu'un – quelque chose –, au visage indéfini, malveillant, a pris possession de mon imaginaire, de mon âme. 
    Vingt ans après le drame, l'occasion de dépasser ce traumatisme collectif s'offre à moi. 
    Je vais enfin pouvoir donner un visage à mes peurs.

    Mon avis : 

    Un roman qui commence sur le thème de la peur, ce sentiment étrange qui nous poursuit toute un vie sans que l'on comprenne pourquoi. Et le premier chapitre nous met dans le bain et promet un roman prenant et angoissant. 

    Puis c'est à cet horrible massacre de quatre jeunes que nous sommes confrontés, massacre qui aura bouleversé profondément bien plus que les familles, c'est tout un village qu'il sera déstabilisé, ébranlé et quasiment détruit.

    Pour se libérer de cette peur, Marc Edouard Peirosoles, professeur d'histoire à l'université de Toulouse, va reprendre toute l'enquête mais comme un chercheur-historien : étudier les faits, se mettre dans la peau des personnages, retourner sur les lieux dans lequel il a grandi et qu'il connait bien.

    Une enquête passionnante originale vivante que l'on suit parfois la peur au ventre car Marc Edouard la vit avec ses tripes et non seulement en enquêteur froid et détaché.

    Et un final étonnant je vous invite à aller découvrir.

    Un souffle une ombre de Christian Carayon

    dans la catégorie PONCTUATION

    Un souffle une ombre de Christian Carayon


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  • Un petit livre oublié sur un banc de

     

    4ème de couverture

    Camélia a trouvé un petit livre oublié sur un banc. Dedans, des mots sont soulignés ici et là, et ces mots sont comme autant de mystérieux messages... qui semblent ne s'adresser qu'à elle. Alors va commencer un bien étrange jeu de piste où, tels un chat et une souris, Camélia et un inconnu vont se laisser des messages par petit livre interposé. Jusqu'à ce que Camélia découvre qu'elle n'est pas la seule en possession d'un petit livre oublié sur un banc.

    Mon avis : 

    Quel plaisir de retrouvé Camélia et d'avoir envinf la fin de cette belle aventure des mots et des rencontres. 

    Toujours le même trait et les mêmes couleurs chaudes pour une belle harmonie avec le premier tome. Camélia est curieuse et pétillante et mène sa quête de déboires en surprises.

     

    De belles réflexions sur les mots, le métier d'écrivain. Juste Un petit livre sur un banc que j'aurai aimé trouvé ! 

    Dans la catégorie OBJET

    Un petit livre oublié sur un banc de Jim et Mig


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  • Acide sulfurique de Amélie Nothomb

    4ème de couverture : 

    Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus : il leur en fallut le spectacle. A.N.
    Une petite fable cynique jonglant à souhait avec le beau et le laid, le bien et le mal. Métro.

    Mon avis : 

    Une critique acide de la société entre le jusqu'au-boutisme de la télé réalité et l'horreur des camps de concentration.

    L'écriture est fluide comme d'habitude. Les personnages sont forts, Pannonique dans son engagement quasi politique désintéressé et Zdena dans son évolution. 

    Acide sulfurique de Amélie Nothomb

    D'un auteur Belge

    Acide sulfurique de Amélie Nothomb


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