4ème de couverture : 

Si jamais tu viens frappera ma porte, je te préviens...

Je te mange tout cru, GROS CORNICHON !

Mon avis :

Une randonnée originale, ludique et interactive puisque l'enfant chatouille une partie du corps du monstre qui disparaît à la double page suivante pour créer un nouveau paysage. (suis je assez claire ???)

Le texte est construit comme une chanson. Le fond noir est impressionnant mais mets en valeur les couleurs vive du personnage. Les expressions du monstre évoluent aussi au fil de pages le rendant plus "humain"

 Dans la catégorie Gros Mots

4/40

4ème de couverture : 

Quel rapport entre une femme qui empoisonne ses maris successifs et un président de la République amoureux ? Quel lien entre un simple marin et un escroc international qui vend des bondieuseries usinées en Chine ? Par quel miracle une image de sainte Rita, patronne des causes désespérées, devient-elle le guide mystérieux de leurs existences ? Quatre histoires liées entre elles. Quatre histoires qui traversent l'ordinaire et l'extraordinaire de toute vie. Quatre histoires qui creusent cette question : sommes-nous libres ou subissons-nous un destin ? Pouvons-nous changer ? Concerto à la mémoire d'un ange est suivi du Journal tenu par Eric-Emmanuel Schmitt durant l'écriture.

Un recueil de nouvelles déroutantes et touchantes où les destins basculent pour le meilleur ou pour le pire. Humour, souvent noir, accompagné d’une naïveté apparente, le tout au service d’une réflexion originale. Blaise de Chabalier, Le Figaro littéraire.

Mon avis : 

4 nouvelles 4 histoires autour de l'amour, encore et toujours.

Ma préférée : "le retour" sur l'amour paternel, émouvant

"L'empoisonneuse" et "concerto pour la mémoire d'un ange" un peu convenu

et "un amour à l'Elysée" qui m'a étrangement rappelé "un crime parfait" trop récemment lu dans la "rêveuse d'Ostende"

L'avis de Gambadou

Dans la catégorie Musique

Coche la case (6/50)

Recueil de nouvelles

à Cléon samedi soir 

Entre nouveauté de son dernier album Puzzle 14 et des reprises plus ou moins historiques, Paul Personne a enchanté son public déjà conquis (mais quand même un peu froid!!) pendant plus de 2 heures.

Du rythme, du chant, des bons mots et des souvenirs étaient au programme dans une petite salle que je découvrais et qui propose une bonne programmation à 35 min de chez moi !

La première partie n'était pas en reste avec Fränk, des textes forts et poétiques accompagné à la guitare entre groove et soul .... à suivre

" les lecteurs s'identifient généralement à tel ou tel personnage d'une histoire, ce qui leur permet d'échapper aux problèmes et à l'ennui de leur propre existence. C'est la première raison qui les pousse à lire des romans. Ils ont besoin de s'identifier à un personnage ou à différents personnages, à différentes époques si c'est une histoire réaliste, pour s'y laisser happer. Et ils ont besoin d'être happés par l'histoire, qu'elle les aspire, parce qu'ils veulent échapper à leur vie l'espace d'un instant C'est un besoin, un besoin que tout lecteur reconnait, au moins inconsciemment."

Elliot Perlman

1964

Ambiguité p.161

envoyées et reçues, elles répondent toutes aux propositions faites par le forum pour préparer Noël