4ème de couverture : 

Sixtine, 40 ans, mariée, deux enfants et bourgeoise par excellence, est au bord de la crise de nerfs lorsqu'elle se retrouve contrainte d'héberger ses parents. Leurs rapports se limitent au strict nécessaire depuis qu'elle est adulte et pour cause, elle est la fille de deux ex-stars du punk. Grands-parents déjantés versus fille quadra bien rangée (et même un peu coincée), la maison est à deux doigts d'exploser. 

Mais pour Constance et Clémence, les deux filles de Sixtine, cette cohabitation tombe du ciel... 
Rébellion générationnelle à tous les étages !

Mon avis : 

Sixtine mère au foyer prend soin de sa maison, de son mari et de ses 2 filles (8 et 13 ans) tout est parfaitement bien réglé dans leur petite vie à la limite de la bourgeoisie. Monsieur a un bon poste et madame est investie dans la vie de l'école. Tout est pour le mieux un peu trop bien orchestré même lorsque débarque le père et la mère de Sixtine, ex duo de rockers, divorcés depuis 30 ans, avec qui Sixtine entretient des liens plutôt distendus. C'est la panique pour Sixtine qui sent qu'elle perdre la maitrise pendant ces quelques jours, la peur au ventre de ne pas arriver à rester maitresse d'elle même et que de vieilles rancunes ne remontent. 

Comme ses précédents romans (les sales gosses et les imbéciles heureux) Charlye Ménétrier Mc Grath nous amènent dans une famille un peu dis fonctionnelle : d'un coté la rigidité absolue et de l'autre la vie bohème. Quand ces 2 groupes doivent vivre ensemble pendant quelques jours on s'attend à ce que ce soit explosif !

C'est enjoué, gai, bien vu, dynamique et dans l'air du temps, un roman feel good qui parle des liens familiaux, des blessures d'enfance, de la résilience de l'importance du lien grand-parents / petits enfants. Un roman qui a vraiment tout me plaire et que j'ai lu en 1 après midi.  

dans la catégorie ADJECTIF (11)

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