4ème de couverture : 

« Un matin, tu déposes tes deux filles en voiture à l'école, tu vas jusqu'à l’immeuble où se trouve ton bureau, tu te gares sur ta place de parking, tu entres dans le hall, tu prends l’ascenseur jusqu’au cinquième étage en travaux où, à cette heure, il n’y a personne, tu poses ta veste sur le dossier d’une chaise pour qu'elle ne se froisse pas, tu pousses une table sous une fenêtre, tu montes sur la table, tu sautes sans un cri, et tu te brises en contre bas. Tu vis encore, les pompiers t'emmènes à l’hôpital où une équipe chirurgicale passe la matinée à essayer de te sauver. Peine perdue, en début d’après midi, c'est terminé, tu as réussi, tu es mort."

Mon avis :

 C'est avec enthousiasme que j'ai retrouvé cet auteur dont j'apprécie particulièrement l'écriture. 

Dans cet opus, parallèlement à sa maladie naissante il nous parle du suicide de son meilleur ami avec la construction de cette amitié, quelques souvenirs et l'incompréhension face à cet acte si violent et pour lequel il n'a laissé aucune explication.

Un roman un peu elliptique, pas toujours facile à suivre mais toujours superbement bien aimé.

 Un mois une illustration : bouche