On l’appelle La Casse. Coincée dans une vallée, fermée d’un côté par un barrage hydraulique, de l’autre par une grille longue de quatre cents mètres.
C’est là que Jo atterrit, après une longue dégringolade : divorce, chômage, solitude, misère. A bout de forces, la jeune femme se voit attribuer son nouveau logement, une Peugeot 306 grise.
Comment trouver des raisons de vivre, dans ce bidonville rappelant « la préhistoire, version Mad Max ou pire » ?
Mais il y a Ada, la vieille aux mains apaisantes et aux herbes puissantes.
Mais il y a Nathan, un des gardiens de la Casse, aux cheveux noirs et lisses, au regard d’oiseau de proie.
Et Jo se prend à y croire encore. L’amour, l’espoir, pourraient trouver leur place, même dans cet enfer.
Bien sûr, c’est un rêve impossible.
Jo, après une descente aux enfers se retrouve logée sans autre choix à "la casse" dans une peugeot 306. Il va lui falloir apprendre à vivre avec de nouvelles règles dans cet espace de bidonville / camp de réfugiés. Heureusement elle est tombée dans un bon quartier où règne une certaine entraide. En parallèle nous suivons Nathan et ses coéquipiers gardiens du camp. Peut être un espoir pour Jo...
Une nouvelle qui semble être les prémices du roman "les larmes noires sur la terre". Je m'attendais à quelques choses de nouveau d'où une légère déception. C'est donc noir, bien écrit, puissant intense et trop court !
Dans la catégorie METEO (8)
48 p (22799 - 2362)