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Personne n'a peur des gens qui sourient de Véronique Ovaldé
4ème de couverture :
Gloria a choisi ce jour de juin pour partir. Elle file récupérer ses filles à l'école et les embarque sans préavis pour un long voyage. Toutes trois quittent les rives de la Méditerranée en direction du Nord, la maison alsacienne dans la forêt de Kayserheim où Gloria, enfant, passait ses vacances. Pourquoi cette désertion soudaine ? Quelle menace fuit-elle ? Pour le savoir, il faudra revenir en arrière, dans les eaux troubles du passé, rencontrer Giovannangeli, qui l'a prise sous son aile à la disparition de son père, lever le voile sur la mort de Samuel, le père de ses enfants où était Gloria ce soir-là ? , et comprendre enfin quel rôle l'avocat Santini a pu jouer dans toute cette histoire. Jusqu'où peut-on protéger ses enfants ? Dans ce roman tendu à l'extrême, Véronique Ovaldé met en scène un fascinant personnage de mère dont l'inquiétude face au monde se mue en un implacable sang-froid pour l'affronter.
Mon avis :
Mais que fuit Gloria dès le début du roman ? Et pourquoi ? pourquoi imposait ce déracinement à ses filles ? par amour ?
Peu à peu nous remontons le fil de la vie de Gloria, pour essayer de comprendre. Une vie faire de déception, de vengeance, d'instabilité mais aussi de petites débrouilles et de malentendus.
J'ai eu bien du mal à entrer dans cette histoire, à croire au bénéfice du refuge, au final c'est surtout elle que fuit Gloria, c'est ce que j'en ai compris sans arriver à entrer dans sa tête et à m'attacher à elle.
« La mélancolie du Kangourou de Laure ManelUne belle brochette de bananes de Jean Philippe Aurau Vignod »
Tags : roman
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Commentaires
Merci pour le partage de cette chronique ! Si je comprends bien, un livre pas évident à lire...
Je te souhaite un bel après-midi.
Bisous.
Bernadette.
PAs facile à suivre en effet. Merci de ta visite bonne journée