4ème de couverture : 

Je m'appelle Pénélope, j'ai 11 ans, une famille marrante, deux super copines et un amoureux (je craque grave pour mon Artus). Mais la vie n'est pas toujours rose ni le ciel toujours bleu. Il y a aussi des jours sombres où je me demande : comment peut-on changer le monde quand on n'a que 11 ans ?

Mon avis : 

L'histoire de Pénélope 11 ans écrite pour des jeunes du même âge. le collège, un amour naissant, des profs attupiques, des parentes un peu particuliers, des heures de colles et la découverte d'une autre réalité. 

Une prise de conscience l'envie d'aider mais comment faire ? Des envies des doutes et puis on passe à l'action en ce demandant toujours si l'on a bien fait ?

C'est assez bien écrit mais les personnages sont assez fades, trop réels, ça manque de pep's et de dynamisme dans le même genre je lui préfère Mentine. 

   merci aux éditions 

4ème de couverture : 

Comme tous les jeunes Indiens, Mukwa, 11 ans, est envoyé à Sainte-Cécilia, un pensionnat canadien dont l'éducation est confiée à des religieux. Malheureusement, cet établissement ne ressemble en rien à une école traditionnelle. Pour tout apprentissage, le jeune Ojibwé découvre l'humiliation, la privation de nourriture, les mauvais traitements... Car le mot d'ordre est Kill the Indian in the child : éliminer l'Indien dans l'enfant, lui faire oublier sa culture, sa religion, ses origines. Mais Mukwa se rebelle, décide de fuir et de rejoindre son père trappeur, dans la forêt...

Mon avis : 

Il faut être bien accroché pour aborder ce roman qui monte en puissance au fil des pages. Mukwa passe quelques heures avec son père avant de partir pour le pensionnat où il va être éduqué. C'est bien là le mot qui tue, éduqué et non élevé. 

On passe donc d'un monde de douceur d'écoute de partage et d'encouragement à un monde froid, violent, fait de privation, de mauvais traitements, d'humiliations où les enfants doivent oublié leur langue, leur culture. 

C'est insupportable pour Mukwa qui décide de s'enfouir avec son ami des premiers jours.

Elise Fontenaille ne nous épargne rien même si c'est dit à demi mots. Inspirée d'une histoire vraie, cette histoire m'a rappelé "Magdalena Sister" par la cruauté des actes perpétrés par ces religieux. L'horreur est à son comble quand on découvre que ces tortures n'ont cessé qu'en 1996.

L'avis de Jerome

Merci à 

Dans la catégorie MORT

4ème de couverture : 

Pendant que sa mère roucoule à Venise avec son informaticien, Sam se fait chouchouter par sa grand-mère. Il reçoit en cadeau une superbe batterie, ainsi qu'un local pour ne pas déranger les voisins. Bien qu'il ait une âme de rockeur, Sam a peur des caves. Un jour après sa répétition, il entend des bruits bizarres. Persuadé qu'il se passe des choses étranges dans les couloirs, Sam décide de prendre tous les risques pour découvrir quel secret se cache dans les entrailles sombres et humides de l'immeuble...

Mon avis : 

Le titre de la série m'a un peu induite en erreur, je m'attendais à une vraie enquête avec recherche d'indices et mystères il n'en est rien ou presque. Mais cette histoire est malgré tout bien sympathique. 

J'ai aimé les refermions de Sam, la découverte qu'il fait de la musique et l'investissement  qu'il faut pour arriver à jouer quelques choses de correct. Les personnages sont agréables et attachants, un peu extravagants. 

Je ne vais pas spoiler mais cette histoire a une jolie morale qui fait que je ne peux que vous encourager à  lire ce roman. 

Merci aux éditions 

Dans la catégorie LIEU 

4ème de couverture : 

Au début du XVIe siècle, Katie est enfermée au couvent depuis l'âge de cinq ans. Lorsqu'elle entend parler de Martin Luther, qui encourage les religieuses à sortir de leur abbaye pour se rapprocher de Dieu, elle s'enfuit avec huit autres nonnes. Accueillie par le peintre Lucien Cranach, elle découvre le monde, apprend l'art et la théologie et s'éprend du réformateur.

Mon avis  :  

Un roman docu qui m'a rappelé des souvenirs du primaire ou du collège... mes connaissances étaient bien loin ! 

L'écriture est fluide et agréable, le récit plutôt vivant. Les préceptes de Luther sont un peu survolés mais il faut se rappeler que c'est un livre jeunesse. 

Une dizaine de pages en fin de volume donne quelques repères sociaux, économiques, science, art ... de l'époque. 

Un bon moment de lecture. 

Merci aux éditions 

Dans la catégorie PERSONNE CELEBRE

4ème de couverture : 

Sara, 17 ans, a de fortes convictions morales et politiques. Aussi, quand la police débarque dans son lycée pour arrêter un de ses camarades sans papiers, elle n'hésite pas une seconde et organise la résistance. "Il y a urgence, pont barre !"

Blocus au lycée, manif, concert de soutien.... La lutte est belle, l'action grisante, mais à trop se chercher dans l'Autre, Sara en oublierait presque sa propre vie. 

Mon avis : 

Un roman dans l'air du temps, d'actualité, témoignage de la fraicheur de l'engagement et des grandes illusions de la jeunesse. C'est bien vu, réaliste, dynamique. Les caractéristiques adolescentes sont  bien présentes sans être caricaturées mais il manque un petit quelque choses peut être pour mon regard d'adulte. 

j'ai aussi trouvé certains passages un peu brouillon. Mais Sara fait ce qu'elle peut peut e^tre aussi pour fuir les problèmes de la maison ?

Merci aux éditions  

Dans la catégorie SPORT/ LOISIRS