4ème de couverture : 

Vincent, musicien raté, piètre époux et père, se retrouve à distribuer des prospectus dans les boites à lettres pour gagner sa vie. Son existence semble s enkyster dans l échec, la médiocrité et l ennui quand il rencontre Carell, demi-demeuré et vrai voyou. Embarqué malgré lui dans une fuite en voiture à travers la France, où les deux compères accumulent catastrophe sur catastrophe, Vincent apprend petit à petit à contrôler sa vie, à prendre des décisions, à les assumer, à s imposer... même si c est pour le pire.
Un polar moderne, bourré de références et plutôt décapant qui arrive à parler de sujets graves avec humour. Un auteur à découvrir !

Mon avis : 

 Un "Road tripes" complètement barré qui ne nous laisse pas une minute de répit. Le narrateur se laisse entraîner sans résistance par Carell pauvre gars qui agit avant de réfléchir (mais peut il vraiment faire autrement). 

Un moment de lecture loufoque et totalement irréaliste mais qui fait du bien. Belle découverte.

Auteur inconnu de moi qui participe 

organisé par Aaliz

ce trimestre avec la lettre

4ème de couverture : 

Il y a cinq ans, Tia est tombé follement amoureuse d'un homme déjà marié et père de deux enfants. Quand elle est tombée enceinte, il a disparu, et Tia a fait adopter l'enfant. Il y a cinq ans, Caroline, chercheur en médecine, a adopté à contrecœur un bébé pour faire plaisir à son mari. Elle a prié pour que ses doutes disparaissent. Il y a cinq ans, Juliette pensait que sa vie était idéale. Un mariage solide, deux beaux enfants, un métier passionnant... Puis elle a découvert que son mari la trompait. Il a promis de ne plus recommencer, et elle l'a cru. Jusqu'au jour où une lettre est envoyée... signant le début d'une spirale qui mêlera le destin des trois femmes.

Mon avis : 

 On peut toutes se reconnaître dans ces portraits de femmes : la mère qui ne se sent pas à la hauteur, la femme trompée, la femme abandonnée. 

Un roman qui tourne autour de l'adoption. Comment en arrive t on à abandonner son enfant ? Et comment vit on avec ça ? Quelle place pour la mère adoptive ? Mais comment aussi vit on en sachant que son mari a fait un enfant à une autre hors mariage ?

Les chapitres se succèdent, chacun donnant la parole à une de ces femmes (une ou deux fois à Nathan, le père biologique / amant / mari)

On se laisse prendre par ces personnages sans porter de jugement car chacune a des raisons valables pour agir comme elle le fait. Elles se battent chacune à leur façon pour avancer et défendre ce en quoi elles croient. Toutes les 3 sont attachantes car comme nous elles ont leur défaut et leur faiblesse.

Un joli roman agréable à lire et prenant même si au 3/4 j'ai trouvé que ça s'éternisait un peu.

l'avis de Sariah

4ème de couverture : 

« Mémé, c'est ma mémé, même si ça ne se dit plus.
Mémé me manque. Ses silences, ses mots simples au Scrabble, sa maison enfouie sous les pommiers et son buffet d'avant-guerre. Ce texte est subjectif, partial, amoureux, ce n'est pas une enquête, ce n'est pas une biographie, c'est ce que j'ai vu, compris ou pas, ce que j'ai perdu et voulu retenir, une dernière fois. Mémé, c'est mon regard de gamin qui ne veut pas passer à autre chose. »
Voici le portrait qu'à plus de quarante ans Philippe Torreton fait de celle qui fut le personnage central de son enfance, un portrait tendre et nostalgique, construit par petites touches comme la mémoire, où chacun retrouvera sa grand-mère ou celle dont il a rêvé.

Mon avis : 

 Un joli voyage dans le temps avec ce témoignage de Philippe Torreton qui parle de sa grand mère... un peu notre grand mère à tous en tout cas la mienne.

Je me suis vue, comme lui, vivre dans cette campagne de choses simples, regarder ces mains abimées par les travaux, écouter avec les yeux des paroles trop rares.

4ème de couverture : 

Le graffiti humiliant d’un élève aura suffi pour qu’Etienne Fusain, professeur de philosophie morose, décide de changer de vie. Il quitte travail, famille, mélancolie, et part retrouver son vieil ami d’enfance. Commence alors une errance réjouissante, cure de jouvence, d’immoralité, d’excès, de tendresse où la rencontre avec la sublime et irrésistible Lily lui donne une nouvelle chance d’être heureux.

Mon avis : 

Encore un roman un peu dépressif dans le premier tiers puis qui prend un peu de légèreté avec l'arrivée de Lily dans le couple amical formé par  Etienne et Denis. D'une histoire assez réaliste sur le '"pétage de plomb" d'un professeur de philo on glisse progressivement vers une épopée un peu loufoque et improbable mais qui remet les idées en place dans la tête d'Etienne.

J'étais un peu sceptique au début en me disant que ce n'était encore pas avec ce livre que je allais rigoler mais au final j'ai trouvé cette lecture sympathique.

4ème de couverture : 

La vie d'Alice est un roman. Un roman dont les chapitres, les uns après les autres, portent le nom de ses maris. Le jeune résistant, le confiseur italien, le jazzman, le journaliste américain, le médecin indien... Elle a follement aimé chacun de ces hommes et s'en est fait follement aimer. Huit fois veuve et neuf fois amoureuse ! Un don pour la vie, une terrible envie de mordre l'existence à pleines dents brûlent chez cette sémillante vieille dame à l'accent so british... "

Mon avis : 

Paul rencontre sa tante pour la première fois à l'enterrement de sa mère, s'en suit des soirées à faire connaissance avec cette femme à la vie mouvementée.

Un gentil petit roman avec ses chapitres consacrés à chacun des maris d'Alice, un peu lassant car l'histoire se répète huit fois, bien sur les maris et les lieux sont différents mais le fond reste le même.

L'écriture est fluide et agréable avec beaucoup de références musicales et des chansons en anglais dans le texte non traduits qui pourront gêner quelques lecteurs.

Seul le final surprenant fait que je me souviendrais de ce livre.

L'avis de PhilippeD

Session 3 du challenge un mois = une illustration

un élément rappelant les vacances (ici la valise) 

Auteur belge