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La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose de Diane Ducret
4ème de couverture :
La loi de Murphy n'est rien comparée à la loi d'Enaid : tout ce qui est susceptible de mal tourner tournera plus mal encore qu'on aurait humainement pu le prévoir.
Après avoir été quittée à Gdansk par téléphone, Enaid se rend à l'évidence : les fées qui se sont penchées sur son berceau ont dû s'emmêler les pinceaux. Comment expliquer, sinon, la sensation qu'elle a depuis l'enfance qu'il lui a toujours manqué quelqu'un ? Il y a de quoi se poser des questions quand les parents adoptifs sont en fait les grands-parents, que la mère est danseuse de nuit, que le père change de religion comme de famille, que les bunkers de l'ETA servent d'école buissonnière. Et que l'accident d'un instant devient la fracture de toute une vie...
On peut se laisser choir ou faire le saut de l'ange. Être boiteux ou devenir un flamant rose. Sur ses jambes fragiles, tenir en équilibre avec grâce par le pouvoir de l'esprit, un humour décapant et le courage de rester soi.Mon avis :
Ce roman partait plutôt mal pour moi dès les premières lignes Enaid se plaint de se faire plaquer par téléphone et commence alors la jérémiade de "personne ne m'aime" ... heureusement cela ne dure pas et Enaid fait le bilan de sa vie.
Retirée à ses parents elle grandit avec ses aïeux sans même s'en rendre compte, une adolescence est plutôt mouvementée et sa grand mère la surprotège de peur qu'elle finisse comme sa mère ... ça ne m'a pas passionnée plus que ça, mais ça bouge et au moins ce n'est pas larmoyant.
Puis au fil des pages Enaid grandit et je commence à m'attacher, ce qu'elle vit me parle plus même s'elle n'est pas des plus gaies, la fin va vers le positif, aide à la reconstruction. Je ferme ce livre plus enthousiaste que je ne l'ai ouvert.
Dans la catégorie DEPLACEMENT
Tags : Roman challenge SP
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Commentaires
Avis mitigé donc !
ça a mieux fini que commencé mais ça ne restera pas en mémoire